Concours Eurovision de la chanson 1991
Date | 4 mai 1991 |
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Présentateurs |
Gigliola Cinquetti Toto Cutugno |
Télédiffuseur hôte | RAI |
Lieu |
Studio 15 di Cinecittà, Rome![]() |
Chanson gagnante |
Fångad av en stormvind par Carola![]() |
Système de vote | Les points par pays 1 à 8, 10, et 12 points aux 10 chansons favorites. |
Nombre de participants | 22 |
Pays de retour |
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Désistement |
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Aucun point |
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Résultats en Finale, le 4 mai 1991
- Avec 146 points, la France est à égalité avec la Suède, le règlement prévoit que si deux chansons sont premières ex-aequo , le Grand Prix sera attribué à celle ayant obtenu le plus souvent le nombre de points maximum (12 points). Si la chanson gagnante ne peut être déterminée à l'aide de cette procédure, l'élément décisif sera alors le nombre de fois qu'elle aura remporté 10 points. Pour la France : cinq fois 12 points et deux fois 10 points. Pour la Suède : cinq fois 12 points et cinq fois 10 points.
France - Amina - "Cest le dernier qui a parlé"
Espagne - Sergio Dalma - "Bailar pegados"
ESC 1991 - Recap of all songs
PERIKLIS IAKOVAKIS : athlète grec

Lundi dernier, la Grèce a révélé les noms des 156 sportifs hommes et femmes qui représenteront ses couleurs dans 26 disciplines différentes aux Jeux Olympiques de Pékin. Parmi les 84 "mâles" de la délégation hellène figure l'athlète Periklis Iakovakis, champion d'Europe en titre du 400 mètres haies, également recordman de Grèce de la discipline.


Periklis - qui signifie l'illustre en grec - est né en 1979. Le 6 mai 2006, il est devenu le premier athlète de son pays à passer sous la barrière des 48 secondes dans l'épreuve du 400m haies, avec un temps de 47"82 au meeting d'Osaka.
Le site de Reporters sans frontières de nouveau accessible en Chine pour la première fois depuis 2003

Reporters sans frontières a appris, le 1er août 2008, que son site Internet www.rsf.org, bloqué depuis 2003, était de nouveau accessible dans le centre de presse olympique pour les journalistes accrédités à Pékin ainsi que dans d’autres lieux dans la capitale et à Shanghaï. Selon des tests effectués par l’organisation le 1er août dans la matinée, les sites d’autres organisations internationales de défense des droits de l’homme et de médias étrangers ont également été débloqués suite aux protestations des journalistes accrédités et sont accessibles en dehors du centre de presse.
"C’est bien sûr une bonne nouvelle, mais il reste inacceptable que le gouvernement chinois décide comme ça, selon son humeur, quel site est censuré et quel autre est accessible. Combien de temps cette mesure profitera-t-elle aux 253 millions d’internautes chinois qui continuent de surfer sur un Web très largement censuré ? ", a déclaré Reporters sans frontières. "Cette levée partielle de la censure montre que le gouvernement chinois n’est pas complètement insensible aux pressions. Si le monde entier s’était mobilisé dès 2001, avant même l’attribution des Jeux à Pékin, peut-être que la situation serait différente aujourd’hui. Peut-être que des journalistes auraient été libérés avant la cérémonie d’ouverture", a ajouté l’organisation de défense de la liberté de la presse.
Le 1er août, une conférence de presse en ligne, adressée aux journalistes étrangers et organisée par un collectif d’étudiants pour le Tibet libre, n’a pas été accessible depuis Pékin. Les sites d’informations indépendantes The Tibet Post international et Boxun sont également inaccessibles depuis la Chine. Le mot-clé “Boxun“ est même “introuvable“ sur le moteur de recherches google.cn et google.com. La version chinoise de Reporters sans frontières - rsf-Chinese.org - , est toujours bloquée, tout comme le site Internet de l’organisation Chinese Human right defenders (www.crd-net.org).