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Le vieux Four se met à l' heure de la St Valentin..

Un clin d'oeil que nous partgeons avec le site On Board Guys à nos amis du Restaurant Le Vieux Four , de Montpellier. ( voir notre article ici) ! A très bientôt !

Réalisé par Maurice Vivier Infographiste
Site Web
Just like we dream it...

En souvenir d'un superbe week end .......................



Disneyland Resort Paris

Merci à Emilie, Victor et Hervé de leur présence !
Coup de coeur : Le vieux four à Montpellier
Nous vous présentons notre restaurant coup de coeur à Montpellier : "le Vieux Four"
Pour plus d'information lire l'excellent post de "On Board guys"
Un grand Merci pour Christophe et Maurice pour leur acceuil !
Monpellier : La place royale du Peyrou

Le quartier du Peyrou, avec sa Place Royale sur laquelle trône l’immense statue de Louis XIV, son Arc de triomphe, son château d’eau et l’Aqueduc St Clément.

Le 31 octobre 1685, les Etats du Languedoc décident de donner une statue du roi a la Province. La commande est passée le 23 septembre 1686 à Mazeline et Hurtrelle, sculpteurs à Paris. Le choix d' un lieu pour l' installation de la statue fut l' objet de nombreux projets. En 1715, l' intendant Lamoignon de Basville impose l' idée d' une place belvédère hors les murs, utilisant la promenade créée à son initiative entre 1688 et 1690 sur la colline du Peyrou, dans l' axe d' une porte de ville reconstruite en 1692 par l' architecte Charles Augustin Daviler en forme d' arc de triomphe à la gloire du roi.

En 1718, inauguration de la statue ; première série de projets non réalisés pour la place par Jacques V Gabriel en 1716, l' ingénieur de la Blottière en 1731, Pierre Alexis Delamaire (1731, 1734) , l' ingénieur Niquet en 1720 . Le projet de construction est relancé avec l' achèvement de l' aqueduc Saint-Clément, dont le réservoir terminal doit être installé à l' extrémité de la promenade (1764) : projets de Jacques Nogaret en 1764, François Franque en 1765.

Les Etats du Languedoc optent pour le projet de Jean Antoine Giral et de Jacques Donnat, qui sera exécuté entre 1766 et 1774. Sculpture ornementale par les sculpteurs Faure et Dupy, ferronnerie de Bongue. Disparue au moment de la Révolution la statue du roi a été remplacée en 1838 par une nouvelle statue oeuvre de Debay (sculpteur) et Carbonneaux (fondeur) . Site classé le 23 février 1943.
Montpellier : Le Mikvé médiéval

Le mikvé médiéval, bain rituel juif datant du XIIIe siècle est le témoin de l'importance de la communauté juive qui a joué un grand rôle dans le développement et le rayonnement de Montpellier.

- le mikveh, situé en sous-sol a été restauré, il est en eau, alimenté naturellement par
une poche de la nappe d'eau souterraine.
- la salle basse, en sous-sol, sous la synagogue et de mêmes dimensions, reliée à celle-ci par des conduits aménagés à travers la voûte.
- la synagogue, au rez-de-chaussée, recloisonnée en trois parties à usage de réserves comportant des éléments de modénature très particuliers : un héchal en niche dans le mur à l'Est alors que
sur le petit côté, au Nord, chaque angle est orné d'un encorbellement en trompe.
Une autre cave renferme un puits dont le curage a permis de mettre au jour un ensemble de vaisselle de bois et de terre vernissée des XIIIe siècle et XIVe siècle déposé au musée languedocien.
La commune a racheté l'essentiel de l'îlot et a le projet de restaurer et de mettre en valeur ce témoin majeur de l'histoire religieuse et culturelle de la civilisation médiévale
européenne.
Montpellier Monuments - L'Arc de Triomphe

En 1692 Charles-Augustin Daviler, architecte de la Province du Languedoc érige cette porte sur des dessins effectués par Dorbay. Cette porte constitue l'entrée obligée du Peyrou, "place royale" dédiée à la gloire de Louis XIV bienfaiteur de la ville. Elle est copiée en partie sur celle de Saint-Denis à Paris. Il coûta à la ville 11,850 livres.


L'Arc de Triomphe se situe au point le plus de la ville à l'altitude de 52 mètres. Il donnait accès au "Puy d'Arquinel" c'est à dire au lieu "pierreux" appelé Peyrou. Avant sa
construction, un pont-levis permettait de franchir un fossé qui délimitait les remparts de la "commune clôture". Aujourd'hui un pont de pierre de 28 mètres de large remplace cet
ouvrage.

LES MEDAILLONS
Quatre médaillons sculptés en 1693 par Philippe Bertrand (1661-1724) à la gloire des monuments forts du règne de Louis XIV, décorent les faces de l'Arc de Triomphe.

Côté Ville :
Côté Peyrou :

L'Oasis du Moulin
L'Oasis du Moulin est un lieu privé tenu par un couple gay, ouvert de mi-juin à Septembre (juillet et Août strictement gay men, les autres périodes gayfriendly). Il a pour but de réunir des personnes qui recherchent la convivialité d'un lieu qui accueille quinze à vingt personnes environ, le plaisir de se retrouver autour d'un apéritif au retour de la plage et même autour d'une table d'hôtes la semaine.
Notre avis :
"L'oasis porte bien son nom. Véritable havre de paix au milieu de la campagne tout en étant proche de toutes les commodités.
Lieu d'échanges de cultures, permettant tout aussi bien d'être au calme qu'avec des amis ou de se retrouver tous autour d'un barbecue.
Structure immobiliére excellente, cadre idyllique.
Eric et Jean François nous ont reçus admirablement, toujours disponibles tout en restant discrets.
Les massages d'Eric sont absolument source de bien être.
Le chef de cabine et son équipage repartent le coeur gros et reviendront."
La maison de d'Eric et Jean François se trouve proche de Saint Jean de Védas, sur la route de la plage de Maguelone et des Aresquiers.
C'est proche de Montpellier que se trouve leur havre de paix.
Leur maison est en pleine campagne, tout en étant proche de la ville et sur la route des plages.
C'est l'endroit rêvé pour vos vacances.
Olympie

Olympie est un centre religieux de la Grèce, dans le Péloponnèse. À l’emplacement du site était l’Altis, un bois sacré, et l'Autel de Zeus. Le stade lui-même était au milieu d'un bois d'oliviers sauvages.
On y allume traditionnellement la flamme olympique quelques mois avant la cérémonie d'ouverture des jeux Olympiques, d'hiver comme d'été.
Le site semble avoir été occupé de manière continue depuis le début du - III ème millénaire. Olympie était un sanctuaire, et non une ville, uniquement habité par le personnel des temples et les
prêtres du culte. Le sanctuaire était dédié à Zeus, sous l'égide duquel se tenaient des Jeux, tous les quatre ans à partir de -776, date de la paix entre Lycurgue, roi et législateur de Sparte,
et le roi Iphitos de Pise, en Élide.
À l'origine, le sanctuaire d'Olympie dépendait de la cité de Pise, la plus importante de la Triphylie, une des régions de l'Arcadie. Puis les Arcadiens furent chassés au
début du -VIe siècle par les Éléens, qui, selon la légende, venaient de la Grèce centrale. Les Éléens faillirent perdre à leur tour Olympie à la fin du V eme – début du IV eme siècle av. J.-C. au profit des premiers occupants et ils durent finalement remettre la conduite des concours aux Arcadiens en -364. Après des luttes sanglantes dans le
sanctuaire même, ils reprirent le contrôle du sanctuaire et des concours, qu'ils conservèrent sans discontinuité jusqu'à la dernière célébration des Jeux en 393. Héraklès et Pélops sont sont intervenus dans la fondation de la ville et des jeux Olympiques.
Le temple de Zeus
Le temple colossal de Zeus Olympien, de style dorique (64,2 m de long, 24,6 m de large) est fait de marbre et de calcaire local. Il fut érigé entre -470 et -456. Le temple vécut plusieurs catastrophes, notamment un incendie vers -426, et un tremblement de terre un siècle plus tard, qui le détruisit et l'enfouit dans le sable.

Ce temple est une merveille architecturale, construit grâce au butin rapporté suite à la victoire contre Pise. À l'origine, la ville d'Olympie n'était pas une ville, mais un sanctuaire créé par Pélops et Héraclès. Le sanctuaire était rattaché à la ville de Pise. Quand il s'en détacha, il devint une ville et prit Zeus pour dieu protecteur.
Les deux frontons du temple abritent des scènes mythologiques sculptées en ronde bosse dans le marbre. La plus grande (au centre) mesure 3,15 mètres. Certaines de ces statues ont été évidées pour réduire leur poids. Le fronton représentait la course de chars entre Pelops et Oenomaos. Le fronton ouest représentait la bataille des Lapithes contre les Centaures.
Douze métopes situées aux extrémités supérieures des porches intérieurs représentaient les douze travaux d'Héraclès (fils de Zeus et fondateur des jeux Olympiques).
Les scènes représentées dans le temple sont celles de l'origine du sanctuaire et de la ville d'Olympie.
Le temple de Zeus abritait l'une des anciennes sept merveilles du monde, la statue chryséléphantine (d'or et d'ivoire) de
Zeus, abondamment décrite par Pausanias. Cette statue fut sculptée par l'atelier de Phidias vers -440 / -430. Elle mesurait 12,75 m de haut ; le corps était
fait d'ivoire, les cheveux, la barbe, les sandales, et la draperie, en or. Le trône était d'ébène et d'ivoire. Par vénération pour le sculpteur, l'atelier fut conservé jusqu'au V eme
siècle après J.-C. Le
temple était, quant à lui, de style dorique périptère (6 x 13 colonnes), construit avec le calcaire
coquillier local et recouvert de stuc blanc. Seul le toit et quelques décors étaient en marbre. .
Le temple de Zeus est dû à l'architecte éléen Libon (Libo).
Le site archéologique fut redécouvert au XVIII ème siècle par un voyageur français nommé Montfaucon, mais les fouilles commencèrent réellement en 1829 avec l'expédition de Morée. Il est vrai que la plupart des bâtiments étaient recouverts d'une épaisse couche de sédiments dus aux nombreux débordements des rivières Alphée et Cladée. De plus les tremblements de terre, et notamment ceux de 522 et 551, ont contribué à la destruction d'un grand nombre de bâtiments.
Des fouilles plus importantes commencent en 1875, menées par Ernst Curtius et financées par le
gouvernement allemand.
Cérémonie de la flamme Olympique
Devant les ruines du temple d'Héra, des actrices jouent le rôle de prêtresse et procédent à l'allumage de la flamme. La chorégraphie et les costumes des figurantes s'inspirent de l'Antiquité.
Le système d'allumage correspond à un procédé déjà connu des anciens : l'utilisation du soleil et d'un récipient concave (un miroir parabolique) : les rayons du soleil, réfléchis au centre du récipient dégagent une chaleur intense qui permet l'obtention d'une flamme.
Montpellier : le musée Fabre
Le Musée Fabre raconte l'histoire de la création européenne de la Renaissance à nos jours en offrant de grandes collections qui vous émerveilleront.

Aujourd'hui, on compte plus de 800 oeuvres, 900 gravures, 3 500 dessins présentés dans un espace de 9 200m²
; venez admirer de nombreux chefs-d'oeuvre qui font la renommée du Musée Fabre de Montpellier Agglomération.
Le Musée Fabre vous propose une nouvelle configuration pour plus de liberté et afin de répondre aux demandes et aux envies de
chaque visiteur.
Retrouvez un ensemble exceptionnel de peintures flamandes et hollandaises du XVIIème siècle. Les oeuvres des grands maîtres de la peinture européenne comme Allori, Véronèse, Ribera, Bourdon, Coypel ou Reynolds vous raviront également.
Autre temps fort du parcours, l'oeuvre du fondateur du musée, François-Xavier Fabre et de ses contemporains tels David,
Ingres...
Les collections modernes et contemporaines promettent aussi bien des émerveillements : de Delacroix à Géricault en passant par Courbet qui séjourna à Montpellier jusqu'au groupe Support-Surface, sans oublier l'Impressionnisme avec Bazille, Staël, Van Dongen, Richier...
Cette initiative connaît une brusque renommée lorsque le musée est créé grâce à la décision du peintre François-Xavier Fabre (1766-1837) de donner en 1825 ses oeuvres et celles d'artistes français, italiens et nordiques du XVIème siècle au XIXème siècle : Raphaël, Véronèse, Cigoli, Guerchin, de Heem, Rubens, Bourdon, Poussin, Vouet, Coypel, Natoire, Greuze, David.
Rapidement, deux autres Montpelliérains suivent son exemple.
En 1836, Antoine Valedau (1777-1836) lègue un exceptionnel ensemble Flamand et Hollandais du XVIIème siècle où figurent des oeuvres de Mieris, Dou, Metsu, Steen, Téniers, Rubens.
Enfin, grâce à Alfred Bruyas (1821-1877), le musée Fabre entre dans l'ère moderne en recevant (en 1868 et 1876) une collection d'oeuvres du XIXème siècle dominée par Delacroix, Géricault, Corot, Courbet.
Suivent régulièrement, tout au long du XXème siècle, des achats et des donations qui viennent compléter le fonds par un précieux et unique ensemble de peintures de Frédéric Bazille et par des oeuvres représentatives de Morisot, Monet, Degas, van Dongen, Delaunay... et, plus près de nous, Jean Hugo, Germaine Richier ou du groupe Supports-Surfaces né en Languedoc-Roussillon.
La fin du parcours réserve un ultime enchantement : l'unique ensemble d'oeuvres de Pierre Soulages retraçant le parcours de cet exigeant peintre français, le plus connu dans le monde. En effet, il fut très attaché tout au long de sa vie à la région et au Musée Fabre, un espace spécialement conçu pour lui vous sera proposé pour découvrir un ensemble significatif d'oeuvres retraçant son parcours de 1951 à 2006.
Daniel Buren vous accompagnera également tout au long de la visite de l'extérieur à l'intérieur du musée avec son oeuvre "La Portée" qui symbolise la renaissance du musée et son rôle dans l'art contemporain.