DT CLOTHES

Historique de la marque :

L’Australie est devenue ces dernières années, le nouveau monde du sous-vêtement masculin avec de nombreuses marques très connues dans la mode underwear comme Aussiebum pour n’en citer qu’un. DT poursuit une évolution fulgurante notamment en Europe et rares sont les sites web qui ne proposent pas cette lingerie. La production est réalisée avec soin en Thaïlande notamment et une représentation commerciale existe à Paris.


Les sous-vêtements DT Jocks se déclinent en slip ouvert avec plusieurs formes d'ouverture : devant avec une poche dont les coutures sont contrastées des deux côtés ou d’un seul côté en ce qui concerne les modèles récents, en forme X-front, terme anglais qui signifie ouverture frontale en X. Ils sont égalemnt proposés en boxer. Les modèles sont en coton et les imprimés plutôt seventies ou flashy.

DT Jocks est donc la marque australienne qui a révolutionné le kangourou, et son style créatif ressemble à celui de Ginch Gonch.

Côté qualité, c’est irréprochable et la douceur du coton du slip blanc ouvert traditionnel est un vrai plaisir sur la peau des fesses. Ce modèle, défini comme basique, n’a rien à envier aux marques traditionnelles plus connues, bien au contraire puisqu’il apporte une touche de renouveau et une parfaite dynamique.

En résumé, avec des sous-vêtements parfaitement conçus, agréables à porter, très bien coupés, novateurs et très en vogue, DT Jocks s’affirme aujourd’hui comme la référence australienne, notamment en terme de quaiité, mais également en terme de créativité.

Victoire de Samothrace

La Victoire de Samothrace est une sculpture grecque représentant la déesse Athéna Niké (" Athéna qui apporte la victoire"). Elle est actuellement conservée au musée du Louvre.
La statue est découverte en morceaux le 15 avril 1863, sur l'île de Samothrace, par Charles Champoiseau, vice-consul de France par intérim à Andrinople, au
cours d'une mission d'exploration. Le buste et le corps permettent à Champoiseau d'identifier une représentation de Niké, la Victoire, traditionnellement représentée comme une femme ailée. Les
morceaux sont envoyés au musée du Louvre.
En 1875, une mission archéologique autrichienne fouille de nouveau le site. On identifie alors les gros blocs de marbre gris trouvés à proximité comme la proue d'un navire servant de base à la statue, La statue est alors restituée selon ce modèle, c'est-à-dire avec une trompette à la main. Cependant, la découverte en 1950 par Jean Charbonneaux d'une main droite a contredit cette théorie : largement ouverte et les doigts tendus, la main ne tient pas d'attribut.
Les relevés permettent également de montrer que le monument était disposé obliquement dans un exèdre rectangulaire situé à l'extrémité d'une terrasse à
flanc de colline qui surplombe le théâtre du sanctuaire des Grands Dieux. La vue normale de la statue est donc son trois-quarts gauche, comme l'atteste la disparité importante de finition entre
les deux côtés de la statue, celle du côté droit est très rudimentaire Sur ces bases, et à l'aide de quelques moulages (aile droite, sein gauche, dos du buste), une reconstitution complète est
effectuée au Louvre en 1884. La statue est placée sur le palier supérieur de l'escalier Daru, où elle se trouve toujours.
L'ensemble
- La Victoire
La statue est en marbre blanc, probablement originaire de Paros. Elle représente une femme ailée, allégorie de la Victoire, vêtue d'un chiton à rabat ceinturé sous la poitrine, en tissu très fin, laissant apparaître les courbes du corps ; partiellement recouverte d'un himation (manteau) enroulé sur la taille et découvrant la jambe gauche. Le vent plaque les vêtements contre le corps et gonfle le chiton à l'arrière : la Victoire est représentée en train de se poser sur le pont du navire. Dans la restitution la plus communément acceptée, elle lève le bras droit, sans doute pour annoncer la victoire, tandis que son autre bras est ramené le long du corps. Peut-être tenait-il un trophée, comme la stylis (hampe arrière) d'un bateau ennemi.
La Victoire est composée de six blocs de marbre travaillés séparément : le corps, le buste, les deux bras et les deux ailes. Cette astuce, largement utilisée par les sculpteurs grecs, permet d'économiser des frais de matériau : il est plus facile d'extraire de petits blocs qu'un seul gros. Or la Victoire mesure 2,38 m de haut — 3,28 m ailes comprises — soit environ 1,5 fois la hauteur naturelle. Les blocs sont assemblés entre eux par des goujons de bronze.
-
Le bateau et le socle
Le bateau et le socle sont en marbre de Lartos, gris veiné de blanc, d'origine rhodienne. Le socle lui-même est constitué de six dalles sur lesquelles
s'empilent trois rangs de blocs — en tout, quinze et les fragments d'un seizième —, maintenus solidaires par des goujons, figurant le navire. Le deuxième rang se dédouble pour représenter les
caisses de rames. La statue était posée sur le rang supérieur.
- Datation et attribution
Nous ne possédons aucun témoignage antique sur la statue. Celle-ci ne peut donc être datée qu'en fonction de son style. On a d'abord considéré que les monnaires de Démétrios Poliorcète représentaient le monument lui-même ; le roi l'aurait édifié en commémoration de sa victoire navale. À ce stade, la statue est attribuée à un sculpteur de la fin du IV eme siècle ou du début du III eme siècle avant J-C, par exemple un élève de Scopas, qui a travaillé à Samothrace. Cependant, Samothrace est alors sous le contrôle de Lysimaque, ennemi de Démétrios : il parait peu probable que ce dernier ait pu y dédier un monument.
L'époque correspond à la période d'activité du sculpteur Pythocritos, fils de Timocharis, mentionné par Pline et plusieurs bases inscrites, connu pour
être l'auteur de l'un des monuments de l'Acropole de Lindos. Or Champoiseau avait trouvé en 1892, aux environs immédiats de la statue, un fragment en marbre de Lartos portant la signature
« …Σ ΡΟΔΙΟΣ / …S RHODIOS », ce qui peut correspondre à « Pythocritos de Rhodes ». Cependant, son rapport avec l'exèdre
contenant la Victoire n'est pas attesté ; surtout, la présence d'une cuvette d'encastrement de petite taille interdit d'y voir autre chose qu'une base de statuette.
Enfin, certains ont également comparé la Victoire à des personnages de la frise du Grand Autel de Pergame dont les sculpteurs étaient
alors très réputés.
Les Rois maudits : Quand un roi perd la France
Quand un roi perd la France :
C’est avec le tome 6 que s’arrête l’histoire proprement dite des Rois maudits. Dans le dernier tome de son récit « Quand un Roi perd la France »,
Druon raconte à travers le personnage du cardinal hélie de Périgord , les débuts catastrophiques de la Guerre de Cent Ans avec son cortège de batailles perdues pour la France, les règnes
désastreux de Philippe VI et de Jean le Bon, les tribulations du roi de Navarre,le règne de Gaston Phoebus etc...
Ce tome est complètement distinct des autres, en particulier par son style, narré à la première personne par le personnage du cardinal, sous forme
d'entretiens qu'il a au cours d'un voyage de Périgueux à Metz qui le mène à la cour de l'empereur Charles IV. C'est au cours de ce voyage qu'il raconte les péripéties du début de la guerre de
Cent Ans, auxquelles il a fort participé, à son neveu et dans une moindre mesure à son secrétaire, et par leur intermédiaire, au lecteur.
Le Gendarme de Saint-Tropez
Le Gendarme de Saint Tropez est un film français réalisé par Jean Girault ,
sorti en 1964.
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Synopsis :
Le gendarme Cruchot, promu maréchal des logis,
quitte un petit village provençal bien paisibleoù il vit avec sa fille, pour rejoindre son nouveau poste à Saint-Tropez. Sa fille Nicole le suit et ne tarde pas à ses faire des relations parmi
les jeunes estivants. Alors que Cruchot et ses hommes traquent les nudistes, Nicole se fait passer pour la fille d'un milliardaire. Or, ledit milliardaire n'est autre qu'un redoutable chef de
bande responsable du vol d'un Rembrandt au musée de l'Annonciade. Nicole se trouve donc compromise cependant que la gendarmerie traque les voleurs. Après bien des avatars, Cruchot et sa brigade
parviennent à démanteler le gang. Cruchot se " voit " alors fêté par Saint-Tropez.
- Ce film marque le début d'une série de six comédies sur le gendarme Cruchot qui ont marqué la carrière de Louis de Funès et ont rencontré un succès considérable en France tout au long des anées 1960. Un des ressorts du film est la chasse aux nudistes que les gendarmes organisent sur les plages de la petite cité balnéaire qui commençait à avoir une réputation nationale.
- Le tournage s'est déroulé à Saint Tropez, ainsi qu'aux studios de la Victorine, à Nice.
Le Gendarme à New York est un film français réalisé par Jean
Girault , sorti en 1965.
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Synopsis :
Les gendarmes de Saint-Tropez ont été choisis pour représenter la France lors d'un congrès international de la gendarmerie à New York. Après un voyage sur le paquebot France , ils débarquent à
manhattan. Bientôt, Cruchot croit voir sa fille Nicole un peu partout ...Et pour cause : celle-ci désireuse de découvrir le Nouveau Monde, s'est embarquée sur le navire comme passagère
clandestine, à l'insu de son père.

Le gendarme se marie est un film français réalisé par Jean Girault , sorti en 1968.
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Synopsis :
Le gendarme Cruchot découvre, lors d'un contrôle routier, la femme de sa vie, Josépha Lefrançois, la pimpante veuve d'un colonel de gendarmerie. Bientôt,
celle-ci n'hésite pas à pousser son nouvel amant à prendre du galon en l'incitant à préparer le concours d'adjudant-chef, au grand drame de l'adjudant Gerber, qui vise lui aussi l'avancement.
Le Gendarme en balade est un film français réalisé par jean Girault, sorti en1970.
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Synopsis :
Le gendarme Cruchot a été mis en retraite comme toute la brigade. Il apprend que Fougasse, un membre de son ancienne équipe, est devenu amnésique à la suite
d'un accident. Il décide de contacter ses anciens collègues afin de venir en aide au malheureux.

Le Gendarme et les Extra-terrestres est un film français réalisé par Jean Girault, sorti en 1979.
- Synopsis :
Les membres de la brigade de gendarmerie de Saint-Tropez tombent des nues, lorsqu'ils rencontrent les uns après les autres leurs doubles, sous forme
d'extra-terrestres se disant pacifiques. La venue d'une soucoupe volante, l'émotion qu'elle déclenche et la peur de l'inconnu vont faire venir la presse du monde entier dans cette jolie petite
ville du bord de mer. Mais comment reconnaître les vrais gendarmes des faux ? Comment reconnaître les humains des E.T qui prennent l'apparence de tout un chacun ?
Le gendarme et les gendarmettes est un film de Jean Girault sorti le 6 octobre 1982 et achevé par
Tony Aboyantz, l'assistant réalisateur.
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Résumé :
Dans ses locaux flambant neufs, la brigade de Saint-Tropez est chargée d'accueillir, de prendre soin et de former un contingent de quatre jeunes femmes en
uniforme. Un spécialiste de l'espionnage informatique enlève, l'une après l'autre, les nouvelles recrues. L'existence de la brigade étant mise en danger par ces enlèvements dont la raison semble
inexplicable, nos gendarmes déploieront au péril de leur vie, des trésors d'ingénuosité pour retrouver ces femmes dont ils avaient la garde.
Distribution :
- Louis de Funès : Le maréchal des logis-chef Ludovic Cruchot
- Geneviève Grad : Nicole Cruchot, la fille de Ludovic
- Michel Galabru : L'adjudant Antoine Gerber
- Nicole Vervil : Mme Cécilia Gerber, la femme de l'adjudant
- Daniel Cauchy : Richard, un jeune play-boy
- Madeleine Delavaivre : Une estivante
- Maria Pacôme : Mme Emilie Lareine-Leroy
- Claude Piéplu : Mr André-Hugues Boiselier
- France Rumilly : Sœur Clotilde, la religieuse à la 2CV
- Gabriele Tinti : Un homme de main de Mr Harpers
- Giuseppe Porelli : Un homme de main de Mr Harpers
- Christian Marin : Le gendarme Albert Merlot
- Jean Lefebvre : Le gendarme Lucien Fougasse
- Guy Grosso : Le gendarme Tricard
- Michel Modo : Le gendarme Berlicot
Mundo Unico
Mundo Unico est une marque de sous vêtement
originaire de Colombie.
Unico Underwear par Mundo Unico est
unique en raison de l'absence totale de coutures dans la partie interne de la Boxer Brief, ceci va prévenir toute sensation encombrants générés par les coutures à l'intérieur des
sous-vêtements.
Enfin, le plus en avance caractéristique est la "Unico Underwear Suspensor" poche ou, en menant des enquêtes faites par l'urologue en Colombie, ils ont remarqué que
cette pochette regrouper la zone génitale et séparer les jambes en réduisant drastiquement la température dans les activités physiques, comme le jogging, la randonnée à vélo et d'autres sports
comme le baseball et le football.
Mundo Unico latino-américaine est une ligne de sous-vêtements qui se
concentre sur la création de sous-vêtement qui est à la fois confortable et sexy.
Mundo Unico vous offre l'ensemble de ses collections de
sous-vêtements pour hommes dans une variété de couleurs intenses et uniques coupures rendant une collection qui a largement recours.
Les Rois maudits : Le Lis et le Lion

Le Lis et le Lion
En France, Charles, le dernier fils de Philippe le Bel, meurt de maladie. Avec lui s’éteint la lignée directe des descendants d’Hugues Capet. Se pose alors
le problème de la succession au royaume de France : qui doit monter sur le trône, Édouard III d’Angleterre (petit-fils de Philippe le Bel par sa mère) ou Philippe de Valois (fils de Charles
de Valois, décédé 3 ans plus tôt, et plus proche parent « mâle » du roi décédé) ?
Les Français ne sont naturellement pas enthousiastes à l’idée d’avoir un Anglais comme roi. Robert d’Artois n’a donc pas trop de difficulté à faire accepter
Philippe de Valois comme régent puis comme roi. Le dimanche 29 mai 1328, Philippe de Valois est sacré à Reims ; il est rapidement surnommé « le roi trouvé ».
Robert d’Artois est très proche du nouveau souverain, puisqu'il est son beau-frère et qu’il a joué un rôle important dans sa confirmation comme régent puis
comme roi. Il devient rapidement son conseiller principal, se fait élever au rang de pair de France et, le roi n’étant pas particulièrement intelligent, n’a aucune difficulté à gouverner à sa
place.
Cependant, Robert n’a toujours pas récupéré l’Artois, qui est aux mains de Mahaut d’Artois, sa tante. Il prétend posséder des documents qui appuient ses revendications mais il tarde à les produire. Mahaut sait très bien que de tels documents ne peuvent être que faux, car c’est elle qui les a détruits.
Robert reçoit le soutien d’une alliée inattendue en la personne de Béatrice d’Hirson, dame de compagnie de Mahaut, empoisonneuse à ses heures et qui, humiliée à plusieurs reprises par sa maîtresse, a décidé de se venger. Comme Robert ne veut pas présenter les faux documents qu’il a préparés en remplacement des documents détruits par Mahaut avant la mort de celle-ci, Béatrice, à la demande de Robert, empoisonne sa maîtresse puis sa fille Jeanne pour faire avancer la cause de Robert. Par la suite, Béatrice, qui croyait avoir séduit et manipulé Robert, s’aperçoit que c’est lui qui l’a séduite et manipulée. Alors qu’elle se croyait la maîtresse de Robert et peut-être sa future femme, Robert l’abandonne et la fait assassiner.
Cependant, les faux documents de Robert ne résistent pas à l’analyse et il perd son procès pour l’obtention du comté d’Artois. Le roi, qui ne veut pas être
associé à un faussaire, l’abandonne, et Robert est dépossédé de tous ses titres et exilé en 1332. Son épouse, Jeanne de Valois (la sœur du roi), est emprisonnée à Château-Gaillard avec ses trois
fils après le bannissement de son époux. Plein de rancœur contre le roi et la France, Robert erre de ville en ville à la frontière du royaume ; partout on lui signale qu’il n’est pas le
bienvenu, car on craint le roi de France. Il trouve finalement refuge en Angleterre où il incite Édouard III à réclamer la couronne de France en tant que petit-fils de Philippe le Bel.
Édouard III se laisse convaincre et, après s’être assuré du support des dirigeants de Flandre et d’Allemagne, il envoie ses émissaires à Paris pour réclamer la couronne de France. L’aristocratie
française, qui sous-estime la force de l’Angleterre et de ses alliés, considère cette demande avec dérision. Après quelques escarmouches entre les deux pays, la guerre éclate. C’est le début de
la guerre de cents ans. Pendant ce temps, en Angleterre, l’étoile de Robert d’Artois brille de plus en plus ; Édouard III en fait un de ses principaux conseillers et le fait comte de
Richmond. Servant dans l’armée anglaise, il est mortellement blessé sous les remparts de Vannes au début de la guerre de Succession de Bretagne. Il meurt en 1342 et est inhumé en la cathédrale
Saint-Paul de Londres.
le mystere des templiers (XVI)
Le Prieuré de Sion
Le Prieuré de Sion, mentionné pour la première fois en 1956 est une société secrète fictive ou pas crée Pierre Plantard . Dans une série de documents déposés à la Bibliothèque nationale au milieu des années 1960 et intitulés dossiers secrets d'Henri Lobineau, Plantard présente le Prieuré comme une confrérie remontant à 1009, liée à l'Ordre du Temple et dont la mission aurait été de préserver le secret d'une descendance cachée des Mérovingiens pour la restauration d’une monarchie mérovingienne en France
A priori Le prieuré de Sion est une banale association Loi 1901 depuis 1956, alors que la véritable histoire démarre bien avant cette
date.
Dans sa période moyenâgeuse, c'est Godefroy de Bouillon qui serait l'initiateur du Prieuré de Sion. Il était en croisade à Jérusalem, mais
averti d'une éventuelle relation entre la descendance de Jésus et les Mérovingiens, il créa le Prieuré de Sion (nommé après une abbaye construite sur le mont Sion) afin de protéger ce secret.
Ainsi, la relation entre Jésus et Marie-Madeleine et leur fille Sarah fait partie des attributions de protection du Prieuré de Sion.
L'histoire se mélange alors avec celle de l'Ordre des Templiers au début du XIIème siècle. Une scission s'opéra entre les 2 ordres et c'est à partir de ce moment que le Prieuré de Sion entra dans
le secret le plus total pour revenir sur le devant de la scène en 1956 avec la création de l'association Loi 1901 par Pierre Plantard et Mr Bonhomme. Pierre Plantard assura le rôle de Grand
Maître de 1981 à 1984.
- Le dossier secret ou "dossier Lobineau"
Entre 1964 et 1967, plusieurs étranges documents sont déposés à la Bibliothèque Nationale. Ces documents sont essentiellement utilisés comme bases argumentaires d’existence de ce qui est devenu le mythe du mystérieux Prieuré de Sion… dont l'ombre plane tout au long de l'énigme de Rennes-le-Château.
Le première est déposé en janvier 1964, sous le titre"Généalogie des rois mérovingiens et origines de diverses familles françaises et étrangères de souche mérovingienne". Le document mécanographié est signé d’un certain Henri Lobineau… ce nom est évidemment un pseudo.
Ces documents déposés à la Bibliothèque Nationale de Paris se veulent être les fameux parchemins découverts par l'abbé Saunière dans son église
de Rennes le Château.
Il semblerait que le code contenu dans ses documents ouvre la piste de l'énigme.
Henry Lincoln, auteur de "L'Enigme Sacrée" a décrypté un message dans le premier parchemin qui dit :
"A DAGOBERT II ROI ET A SION APPARTIENNENT CE TRESOR ET IL EST MORT
Ces codes seraient des clefs en relation avec des endroits précis de Rennes le Chateau, permettant de progresser sur la piste de l'énigme sacrée.
Mais c'est aussi dans le dossier Lobineau qu'on peut comprendre la motivation de l'abbé Saunière car il aurait été mandaté par le Prieuré de
Sion pour trouver les preuves de la véritable relation entre Jésus et Marie-Madeleine. Ce trésor serait les preuves tangibles (le Graal) que
Jésus et Marie-Madeleine auraient bien eu une fille, Sarah, dont la descendance aurait une légitimité chez les Mérovingiens.
Aujourd'hui, le Prieuré de Sion existe toujours et c'est Gino Sandri qui en assure le secrétariat, mais l'identité du Grand Maître n'est pas connue.
Le Prieuré de Sion a-t-il réellement existé
?
Tout commence le 1er juin 1885, jour où un curé, Bérenger Saunière prend ses fonctions à l’église de Rennes le château. L’abbé
aurait trouvé le 21 septembre 1891 des parchemins perdus. De plus grâce à des fonds importants dont l’origine est mystérieuse, il restaure l’église qui est consacrée à Marie Madeleine. De
nombreuses personnes sont fascinées par le secret qui entoure ce curé. Sa mystérieuse découverte, selon les intéressés, serait de l’ordre d’un trésor symbolique d’une connaissance supérieure
d’une réponse à toutes les énigmes. ils contiendraient la preuve d’une dynastie perdue en France qui aurait été fondée par Clovis en 481. Des historiens ont montré que son dernier
représentant était Dagobert II, assassiné en 679. Son fils, Sigebert IV fut sauvé et amené en secret à Renne le château. Ce dernier aurait eut une descendance, la seule qui puisse réellement
prétendre au trône. La lignée mérovingienne se serait donc perpétuée dans l’ombre et « le roi perdu » serait parmi eux. L’auteur aurait trouvé ce descendant dont le nom ne sera pas
inconnu Pierre Plantard de Saint-Clair.
Les dossiers secrets cités dans le Da Vinci Code, comme par exemple la liste des vingt six grands maîtres (appelés nautoniers) du Prieuré, existent mais leur contenu est fabriqué de toutes
pièces (ce qui a été avoué par Gino Sandri, dernier descendant de Pierre Plantard) et ne correspondent pas à la description donnée dans l’œuvre. Il s’agit en effet de références à des historiens,
des spécialistes de généalogie, des manuscrits rares…
Mais le fait que les dossiers soient des faux ne signifie pas forcément que le Prieuré de Sion n’a pas existé. Marie-France Etchegoin et Frédéric Lenoir ont retrouvés les preuves de la fondation du Prieuré : mais ce ne sont pas des archives de plusieurs siècles mais elles datent seulement du 25 juin 1956 ! Le jour où Pierre Plantard a déclaré cette association, lois 1901 au même titre qu’une simple réunion de philatélistes, mais cette fois ci dans le but « d’une entraide des membres ». Le bureau se compose en parti de Pierre Plantard qui ne s’appelle donc pas Plantard de Saint Clair mais simplement Plantard et est dessinateur industriel dans une usine de poêles, à Annemasse.
La principale activité de cette association est de publier un bulletin qui s’appelle Circuit, et se présente comme le « Bulletin d’information
et de défense des droits et de la liberté des foyers HLM ». L’appellation Sion serait en fait en rapport avec la montagne du même nom en Haute Savoie plus qu’à l’antique Jérusalem. Il semble
jusque là que ce ne soit qu’une association de défense de locataires au nom grandiloquent. Mais ce n’est pas tout, le sous titre de l’association est « C.I.R.C.U.I.T. », mais ces initiales
signifient cette fois « Chevalier d’Institution et Règle Catholique Indépendante et Traditionaliste ». A cela s’ajoute des grades dont les noms viennent des francs maçons ou de la maçonnerie
anglophone.
C’est ainsi que même si l’on tente d’éclaircir le mystère des origines du Prieuré de Sion, cela reste sombre, pourquoi une simple défense de locataire s’appropriait des noms aussi grandiloquents
?
Les 25 ans des underwear Calvin Klein
Il y a 25 ans, Calvin Klein défrayait la chronique en lançant sa ligne underwear pour l'homme. Le design
de ses pièces, mais surtout les publicités chargées de les magnifier, allaient marquer un véritable tournant dans l'histoire de la mode masculine et de la communication, et ouvrir un boulevard en
direction de l'érotisation du corps de l'homme. Sensible à ce côté précurseur, Joe Oppedisano a souhaité célébrer l'anniversaire de
la marque américaine en réalisant ce photoshoot, publié par le magazine de mode italien Collezioni Uomo. Le cadeau, en forme
d'hommage, est aux petits oignons...