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Le nouveau site N2N est arrivé !

Il est en grande partie à la gloire du mannequin, acteur et ancien candidat à "American Idol" Alan Ritchson.



Concours Eurovision de la chanson

Le Concours Eurovision de la chanson est un concours annuel qui eut lieu pour la première fois le 24 mai 1956 à Lugano en Suisse. Ce concours est retransmis par la télévision à travers l'Europe. Plus récemment, il fut aussi retransmis ailleurs dans le monde (par exemple en Australie et aux Etats Unis), mais aussi sur Internet. Le nom de ce concours vient du réseau télévisé Eurovision, conduit par l'Union européenne de radio télévision (UER) dont l'audience potentielle est d'un milliard de téléspectateurs. Le concours est ouvert à tout pays membre actif de l'UER, ce qui inclut des pays comme l'Algérie, l'Egypte, Israël, le Liban, la Lybie, le Maroc, la Syrie, ou la Tunisie — qui ne font pas partie de l'Europe. Ainsi, Israël et la Turquie envoient des candidats respectivement depuis 1973 et 1975, tandis que le Maroc a participé à une seule occasion, en 1980.
Le premier concours eut lieu en 1956 et sept pays participèrent (trois autres furent disqualifiés pour cause
d'inscription tardive). Les sept pays étaient la France, l'Allemagne, l'Italie, les Pays Bas, le Luxembourg, la Belgique et la Suisse. Ils furent rejoints l'année suivante par le Royaume Uni, le
Danemark, et l'Autrichr, puis en 1959 par Monaco.
Le Concours Eurovision de la Chanson, organisé par l'Union européenne de radio-télévision, a été créé en 1956 suite au succès du Festival de SanrRemo qui existait depuis quelques années et se déroulait. Actuellement c’est le plus grand concours musical au monde réunissant chaque année plus d’une quarantaine de pays (nombre en augmentation quasi constante).

Les règles exercées par les différents jurys (qui ne peuvent pas voter pour eux-mêmes) ont varié selon les époques. Autrefois, les opérations de dépouillement étaient fastidieuses. Mais on a aussi reproché aux derniers jurys exprimant leur vote de les modifier au fur et à mesure de l’avancement des scores. Cela a été évité partiellement par l’Eurovision qui a obligé les jurys à communiquer secrétement leurs votes sous le contrôle d’huissiers mandatés dans chaque pays, avant que ceux-ci ne soient annoncés publiquement par chacun d’eux pendant la retransmission.

En 1997 on a assisté à l'introduction du télévote qui permettait aux téléspectateurs de voter eux-mêmes par téléphone. Le télévote est aujourd’hui la seule référence pour le vote et est couplé avec les votes par SMS (qui aident aussi les chaînes à financer leur participation et leur diffusion du concours).
Depuis 1956, le chant était exécuté en direct et accompagné d'un orchestre. En 1999, pour réduire les frais d'organisation, l'orchestre disparaît. La musique doit impérativement être sur une bande son et les instruments durant une prestation sont utilisés fictivement. Les voix enregistrées sur bande sonore sont par contre interdites.

Pour garantir une émission adequate en durée, lors de la première édition en 1956, chaque pays présentait deux chansons. Dès 1957, avec l'arrivée de trois nouveaux participants, on limita à une chanson par pays.
Par tradition (plus que par obligation) ce morceau devait être chanté dans une des langues nationales du pays, uniquement parce que cela favorisait le soutien des téléspectateurs pour « leur » représentant, et les ventes nationales des titres présentés (largement diffusés sur les radios nationales avant le concours).
En 1966, est introduite la règle imposant l'interprétation des chansons dans l'une des langues nationales. Cette règle fut à nouveau abandonnée de 1973 à 1976, et depuis 1999, quand des pays participants dont ils sont les seuls représentants se sont plaints du manque de compréhension de leur langue (et de sa sonorité spécifique) par les autres pays devant voter pour eux.
Ainsi, nombre de pays parlant une langue « minoritaire » dans le concours choisissent maintenant de concourir avec une chanson dans une langue majoritaire, souvent l’anglais, ou intègrent des refrains en anglais.

Augmentation du nombre de participants et présélections
La participation continua à augmenter jusqu'aux années 1980. Au fil du temps, les règles ont été adaptées pour limiter le nombre de finalistes (le vote en finale devenant « interminable » pour les chaînes retransmettant le concours) et faire ainsi face à l’adhésion dans l'Eurovision des nouveaux pays indépendants du Bloc de l'Est :.
- En 1993, une première présélection entre les 7 nouveaux pays adhérents à l’Eurovision a eu lieu : Estonie, Roumanie, Slovaquie, Hongrie, Bosnie Herzégovine, Slovénie, Croatie ; les trois qualifiés furent les anciennes républiques de la Yougoslavie.
- En 1994 et 1995, les pays les mieux classés l'année précédente étaient automatiquement qualifiés ; les autres pays étant relégués pendant un an. Ce qui permit l'arrivée de 7 nouveaux pays de l'est en 1994 : Estonie, Roumanie, Slovaquie, Lituanie, Hongrie, Russie et Pologne (qui finit à une surprenante seconde place dès sa première participation).
- En 1996, l’Eurovision tente de lever cette inégalité, et une sélection audio entre tous les pays désirant participer (29) eut lieu, ce qui élimina le Danemark (qui aura un succès international avec la chanson éliminée), et surtout l'Allemagne, gros apport financier de l'Eurovision. Les autres éliminés étaient Israël, la Hongrie, la Roumanie, la Russie et la Macédoine dont c'était la première tentative de participation. Cette exclusion a causé de sérieux ennuis financiers aux organisateurs de la finale de l’édition 1996, car ils se sont vus privés des droits de rediffusion basés sur les recettes publicitaires qui auraient été générées sur les chaines et radios allemandes.
- En 1997, les qualifiés étaient choisis selon un classement établi sur une moyenne des cinq années précédentes. Pour éviter tout problème de financement, le « Big 4 » fut créé : l"Allemagne, la France, l'Espagne et le Royaume Uni (ce sont les pays qui contribuent le plus financièrement), seront qualifiés d’office pour la compétition de l’année suivante, quels que soient leurs résultats.

A partir de 2004, c'est une demi-finale qui permet à tous les pays de participer, se déroulant deux ou trois jours avant la finale, qui réunit automatiquement :
- Le « Big Four » (France, Allemagne, Royaume Uni et Espagne)
- les dix meilleurs pays classés en finale l’année précédente, dont son gagnant (qui hérite du droit d’organiser le concours en y concourant, mais peut se désister de l’organisation et de l’accueil des demi-finales et de la finale)
- les dix meilleurs de la demi-finale (dont la répartition est tirée au sort) opposant tous les autres pays candidats.
LES CHANGEMENTS...
Le comité directeur de l'UER a accepté
l'ensemble des modifications proposées par le groupe de référence à savoir :
- organisation de 2 demi-finales les 20 et 22 mai
- répartition des pays dans les 2 demi-finales par tirage au sort avec 6 chapeaux
- tirage au sort des pays du Big 4 et de la Serbie pour choisir la demi-finale qu'ils devront diffuser et où ils pourront voter.
- chaque demi-finaliste ne votera que dans la demi-finale où il sera engagé
- dans chaque 1/2 finale, 9 qualifiés pour la finale seront déterminés par le télévoting et un 10ème qualifié par le vote des jurys de secours.
- chaque pays aura la liberté de diffuser ou non la demi-finale à laquelle il ne participe pas et où il n'aura pas le droit de vote.
- les 2 demi-finales seront en direct
- Aucun changement pour la finale : 25 concurrents (20 issus des 2 demi-finales + Serbie + France, Espagne, Allemagne, Royaume-Uni). Tous les pays peuvent voter (y compris les pays éliminés en
demi-finale). Télévoting à 100%.

On note quand même que le système du « Big 4 » a un sérieux défaut : en finale, l'attribution des points par un pays est fait très majoritairement par les téléspectateurs utilisant le télévote. Or, l’Eurovision (et la presse des autres pays) a très mal expliqué aux téléspectateurs les raisons du privilège accordé. Ainsi, depuis que le système est en place, les notes accordées par les autres pays au « Big 4 » ne correspondent plus à la réalité du concours, et les 4 pays du Big 4 n'obtiennent que quelques points voire plus aucun de la part des autres pays, alors qu’ils en obtiennent entre eux : le public des autres pays « boycottent » le Big 4 qui n’a pas à passer par les demi-finales. Cette tendance ne fait que s'accentuer. Pour l’instant, aucune solution possible n’a été retenue par l’Eurovision permettant de maintenir à la fois l’équité du concours, et son équilibre financier.
Le règlement actuel prévoit que chaque pays ne peut avoir plus de 6 interprètes sur scène et que ceux-ci doivent être âgés de
16 ans au moins à la date de la demi-finale du Concours
Aujourd'hui il n'y a plus de restrictions concernant la langue de la chanson. La nationalité du ou des interprète(s) n'a jamais été définie par le règlement international. Pour ne citer que les cas les plus importants, la canadienne Céline Dion a représenté la Suisse en 1998, et la canadienne Natasha Saint-Pier a représenté la France en 2001.

En participant au Concours Eurovision de la chanson, chaque chaîne de télévision en compétition s'engage à retransmettre la manifestation dans son intégralité (demi-finale et finale). C'est pourquoi le Liban, en 2005, après avoir annoncé sa première participation, s'est retiré de la compétition. La chaîne de télévision libanaise qui devait retransmettre l’événement, ne pouvait se soumettre au règlement car la loi libanaise interdit toute référence à l’État hébreu, puisque Israël n’est pas reconnu par le Liban. La chanson retenue était Quand tout s’enfuit, interprétée en français par Aline Lahoud.
Ce n’est pas la première fois que ce style d’incident arrive. En 1978, la télévision de Jordanie (JRTV) retransmet l’émission en direct, mais au passage de la chanson israélienne, la chaîne décide de diffuser une image de fleurs. Quand il y a eu la certitude de la victoire israélienne, la diffusion des votes fut interrompue pour diffuser un film américain. Le lendemain, la Belgique , représentée par Jean Vallée qui avait terminée deuxième, fut annoncée comme gagnante par les services d’informations de Jordanie.
Certains téléspectateurs critiquent le fait que la majorité des chansons de l’Eurovision sont formatées et ne traduisent pas la réalité de la scène musicale. On note toutefois que ce formatage est en voie notable de régression, et que ce sont majoritairement les nouveaux pays participants qui ont apporté la fraicheur et l'originalité dans le concours.
Des critiques ont pu être adressées dans le fait de faire concourir des candidats proposant une pop’ assez consensuelle, ceci afin de plaire au plus grand nombre de télespectateurs issus de cultures et de pays différents. Cette critique est toutefois à tempérer au regard de gagnants des dernières années dont Dana International pour Israel en 1998, et Lordi pour la Finlande en 2006.

Nombre de téléspectateurs critiquent aussi que la plupart des participants ne chantent pas dans leur langue maternelle (voir la colonne "langues" dans le tableau des participants). Pourtant si cette restriction a été levée, c’était à la demande majoritaire des nouveaux pays parlant souvent des langues nationales minoritaires, non représentées parmi les autres pays devant voter pour eux.
Les statistiques des votes montrent une forte tendance des voteurs à privilégier des pays proches avant la qualité musicale intrinsèque, ce qui créé un biais dans les résultats. Les organisateurs tempèrent cette objection par le fait que s'il existe des votes de voisinage, c'est que ces pays sont culturellement proches et donc à même de voter pour des pays partageant les mêmes goûts.
On note l’influence assez certaine de la solidarité régionale, surtout parmi les anciens pays du « Bloc de l'Est. » Toutefois cette solidarité pourrait être accentuée par le système de sélection pour la finale qui privilégie les 4 grands pays (qui d’autre part appartiennent à des cultures en forte concurrence).

JO Pékin 2008 : quelle médaille pour les droits humains ?

Amnesty International est préoccupée par la régression en matière de respect des droits humains à l’approche des Jeux olympiques de 2008.
Malgré les engagements des autorités chinoises, de graves atteintes aux droits humains continuent d’être commises en Chine.
Amnesty International prêtera une attention particulière à la mise en conformité des principes de base de la Charte olympique avec ces engagements d'amélioration que les autorités chinoises ont émises en 2001, quand la Chine a été finalement choisie pour accueillir les JO de 2008.
L’organisation se concentrera donc sur les points suivants : recours persistant à la peine de mort et à des formes abusives de détention administrative, incarcérations, torture, le harcèlement continu et la détention des défenseurs des droits humains, ainsi que la répression des journalistes tout médias confondu des médias y compris Internet.
Il convient d’accélérer la mise en œuvre des réformes nécessaires.
Des promesses non tenues et des violations persistantes :
- Peine de mort
- Détention arbitraire dont « rééducation par le travail »
- Entraves à la liberté des médias et répression sur Internet
- Harcèlement des défenseurs des droits humainsLe Premier ministre tchèque boycotte la cérémonie
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Intolérance !
France (Publicité) Deux homos sur un matelas, c'en est trop pour des ultras cathos «Scandale! Matelsom affiche l'homosexualité dans le métro parisien! (…) La campagne avec un tel visuel va durer un an. Ce que nous ne pouvons tolérer», annonce le blog E-deo.

Tout est parti de la nouvelle publicité de Matelsom, société de vente en ligne de matelas et de literie habituée aux murs du métro parisien. Dans l'un des visuels de sa campagne 2008, on peut voir deux hommes tendrement enlacés sur un lit (photo). Insupportable pour certains extrêmistes catholiques. «Lors de la première semaine, nous avons reçu deux appels.
Des personnes choquées, qui voulaient sauver notre âme. Autant dire que nous sommes restés comme des ronds de flancs», raconte Julie, rédactrice du blog de la société. Car pour E-deo, «Matelsom doit retirer ce visuel du métro, ou alors d'autres entreprises s'engoufreront dans la brèche et iront encore plus loin dans l'amoralité.» Il a donc lancé une opération de lobbying auprès du distributeur et de ses fournisseurs.
Mais Matelsom campe sur son «opinion de partage et de tolérance» et estime que s'opposer à l'affichage des homos relève de «l'ineptie». Cette campagne d'affichage de Matelsom, mise en place en février, doit durer au moins un an. Les affiches sont présentes sur toutes les rames du métro parisien et du RER, soit 1.050 emplacements. L'affiche la plus présente est celle d'un couple de jeunes hétéros ainsi qu'une mère et son enfant, puis celle d'une femme seule, puis le fameux couple gay, ainsi qu'un couple sénior.
(source Têtu)
Dans la vie, il n'est rien de plus intolérable , ni en fait de moins toléré que l'intolérance.
B*BOY

Un photoshoot exceptionnel d'Evan Wade qui n'a pas fini de nous mettre la tête à l'envers, a été réalisé dans le cadre du lancement d'une nouvelle marque de sous vêtements et de maillots de bain B*Boy

Son créateur est William Baker, néé à Manchester en 1973, il n'est pas doué uniquement pour le stylisme, puisqu'il est l'auteur des images de cette première campagne B*Boy dans laquelle brille Evan Wadle.








"La nuit des temps" de René Barjavel

Dans l’immense paysage gelé, les membres des Expéditions Polaires françaises font un relevé sous-glaciaire. Un incroyable phénomène se produit : les appareils sondeurs enregistrent un signal. Il y a un émetteur sous la glace...
"La nuit des temps", c’est à la fois un reportage, une épopée mêlant présent et futur, et un grand chant d’amour passionné. Traversant le drame universel comme un trait de feu, le destin d’Elea et de Païkan les emmène vers le grand mythe des amants légendaires.
Un grand moment de lecture !!
Les Vamps

Les Vamps est un duo comique composé de Nicole Avezard (qui joue le rôle de Lucienne) et Dominique de Lacoste (Gisèle). Elles incarnent, , deux vieilles dames particulièrement caricaturales.
Vers 1984, les deux comédiennes créent les personnages de Praline et Berlingote dans des petites salles ainsi qu’au festival d’Avignon, elles font également du théâtre de rue. Pendant la pièce, elles incarnent divers personnages, dont un sketch où elles campent deux vieilles dames. C’est ainsi que leur vient l’idée de baser tout le spectacle sur ce thème. Les personnages sont alors peu à peu étoffés dans le spectacle pour finalement acquérir les caractères qui leur sont propres (Gisèle : opulente, autoritaire, méchante et Lucienne : maigre, gentillette, niaise).

Le duo se produit ensuite dans l’émission "la classe" puis présente sur scène leur tout premier grand spectacle racontant le pèlerinage à Lourdes du « Club des joyeux moutons » en 1988. Le spectacle se déroule au Palais des Glaces.
En 1991, elles créent leur deuxième spectacle, « Autant en emportent les Vamps » présenté cette fois-ci à l'Olympia. Ce spectacle durera 2 ans et connaîtra trois versions différentes.
A cette époque, le tandem décide alors de se séparer provisoirement, Nicole veut se consacrer à la peinture et Dominique souhaite mener sa carrière de comédienne en solo.
Pour marquer leur départ, elles se produiront à l’Olympia pour un ultime show : Adieu les Vamps. Peu après, invitées chez Michel Drucker, elles révèlent leur vrai visage au public qui ignorait jusque-là si les deux personnages étaient en réalité incarnés par des hommes ou par des femmes.

En 1995, elles reviennent avec un nouveau spectacle Lâcher de Vamps, dans lequel elles se retrouvent au micro d’une radio libre. Ce spectacle sera rejoué en 1997.
S’en suivront plusieurs années d’absence, ponctuées par quelques apparitions, rarissimes, dans des émissions télé ou des expositions de peinture pour Nicole.
Leur grand retour a lieu en 2001, elles reprennent leur tout premier spectacle, réactualisé et font une tournée durant 3 ans.

Autour du groupe
- Les Vamps ont enregistré un 45t en 1990 La Vampada et ont créé un faux défilé de mode La basse couture.
- Elles ont également fait une émission-télé « Chaud les Vamps » durant laquelle elles parodient divers programmes.
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Les Vamps ont leur statue au Musée Grévin.
Particularités de leur humour
Les Vamps tournent en dérision les principaux défauts et les manies généralement attribuées aux personnes âgées. Par exemple, elles prononcent à la française les mots anglophones (le club, condoms), elles comptent en anciens francs, regardent les soaps, disent du mal de leur voisine (Madame Jansen) rien que pour le plaisir…
Mais l’humour est également basé sur le conflit qui relie les deux personnages. Gisèle se montre très dominatrice face à Lucienne, trop effacée. Très opposées, elles sont finalement complémentaires, l’une étant le faire-valoir de l’autre.

Quelques répliques célèbres
- La mort ? Ah non ! Je n'y pense jamais, ou alors je pense à celle des autres, c'est plus gai.
- Gisèle, vous vous souvenez quand on était jeune, on voulait ressembler à Brigitte Bardot, bah c'est fait.
- Vous savez que madame Bourdin elle est dans le coma ? — Tant mieux, j'espere qu'elle a beau temps.
- Pauvre m'am Pichet, elle a épousé un commissaire de police entier v'là qu'elle se retrouve avec un demi-poulet grillé.
- Il paraît qu'elle fume du hachis ! — Et alors, c'est jamais rien que de la viande et des pommes de terre ! moi j'ai bien un cousin à Bayonne qui fume du jambon !
- Et Ideune ? C'est qui ?
- Et vous pensez qu'en mettant un jour le son et l'autre l'image, que vous ferez des économies ?
- Et si on disait du mal...
- Dites voir, Lucienne, vous trouvez pas que chez Mam Jansen, c'est une vrai porcherie ?
- Et la mort, vous croyez qu'il y a quelque chose, après ? - Ben, qu'est-ce que vous voulez qu'y ait ? Vous croyez quand même pas qu'ils nous attendent avec du mousseux et des biscuits ?
Quelques sketchs célèbres
- Médisances : accoudées à leur fenêtre, les deux commères décident de dire du mal de toutes leurs voisines une par une.
- La gazette : Gisèle et Lucienne, assises sur un banc, commentent les articles d'un journal
- La galette dansante du club : Les Vamps se retrouvent dans la salle polyvalente à l'occasion de la kermesse, espérant y trouver le prince charmant…
Madame Jansen
Madame Jansen est le personnage secondaire le plus important dans les spectacles des Vamps. Dans "Autocar pour Lourdes", Gisèle et Lucienne la choisissent dans le public pour une séance photo. De même, dans "Règlements de comptes", elle donne raison à Gisèle qui se disputait avec Lucienne sur le mot autoroute. Puis, dans "Les courses", elle réclame sa demi-baguette quotidienne à Lucienne qui, ayant oublié d'acheter la sienne, est obligé de couper celle de Madame Jansen. Et ce n'est que dans "L'avenir dans les cartes" qu'elle réalise qu'elle a été roulée et insulte Gisèle de malhonnête. Par la suite, dans "Médisances", on apprend qu'elle ouvre la porte à tous les représentants. Pour se venger de Gisèle, elle raconte à Lucienne que le plombier venu réparer l'appartement de Gisèle, a terminé ses travaux depuis longtemps. Dans leur troisième spectacle, Madame Jansen espionne les deux commères en utilisant sa TSF pour écouter à travers la radio de Lucienne. Mais Gisèle s'en rend compte et lui fait croire qu'elle a volé ses économies dans le buffet. Après leurs procès, les Vamps reçoivent la grosse (jugement du tribunal) et font allusion encore une fois à Madame Jansen. Dans l'émission télé "Chaud les Vamps", on voit enfin son vrai visage.