L'histoire de Prague
Prague (en tchèque Praha ) est la capitale et la plus grande ville de la République Tchèque. Elle est également la capitale de la Bohême. Elle est traversée par la Vltva (Moldau en allemand).

La ville aux cent clochers (qualificatif approximatif : Prague compte en réalité 550 tours) a miraculeusement échappé aux destructions de la Seconde Guerre Mondiale et offre une architecture mêlant les styles roman, gothique, baroque rococo, Art nouveau, et Cubiste. Depuis 1992, le centre ville historique est inscrit sur la liste du patrimoine mondial de l'UNESCO.
D'après la légende, la ville fut fondée sur l'ordre de Libuse, prophétesse et fondatrice mythique de la lignée régnante des Premyslides. D'autres enfin, fascinés par le caractère magique de la ville, affirment qu'elle est le seuil, la porte d'accès vers d'autres mondes ou d'autres dimensions.

En 1170, Vladislav II fait construire, en bois, le premier pont sur la Vltava, le pont de Judith qui,
écroulé en 1342 sera remplacé par un pont de pierre, le célèbre pont Charles.

La vieille vile de Prague se développe autour de son noyau historique de Týn et est peuplée de Tchèques et d'une communauté juive dans ce qui deviendra Josefoy ; en 1270, la Synagogue Vieille Nouvelle est construite.
La ville connait son apogée avec le roi de Bohême et futur empereur germanique Charles IV qui fait édifier le Pont Charles (1357), la cathédrale Saint Guy (1344); fonde en avril 1348, l'université Charles , la première université allemande, et étend la ville à l'est et au sud pour créer la Nouvelle Ville (1347) qui double la superficie de la Vieille-Ville.
En 1355, Charles IV fait de Prague la capitale du Saint Empire romain germanique.
Prague est alors un centre culturel et religieux de première importance et c'est ici que naissent les premiers balbutiements de
la Réforme avec Jan Hus. Ce dernier prêchait contre les abus de la hiérarchie catholique, en particulier contre le trafic des indulgences. Sa mort, en 1415, sur le bûcher,
lors du concile de Constance met le feu aux poudres en Bohême et marque le début des croisades contre les hussites qui mettent un terme à cette expansion urbaine.

En 1419, les Hussites prennent le contrôle de la ville, l'empereur Sigismond envoie une armée pour reprendre possession de la ville
mais celle-ci est défaite. Ce n'est qu'à la bataille de Lipany en 1434, que les Pragois seront mis en déroute. Toujours insoumise, la diète de Bohême, réunie dans l'hôtel de ville de la
Vieille-Ville, élit pour roi Georges de Podebrady le 27 février 1458. Préférant un souverain slave plutôt qu'un Habsbourg, la diète élit Vladislas Jagalon en remplacement de Georges
1er.
Sous les Habsbourg :
Mais la fille de Vladislav IV, Anna Jagellon épouse Ferdiand d'Autriche, selon un accord dynastique arrangé par Maximilien 1er du Saint Empire en 1515, et la ville repasse bientôt sous domination habsbourgeoise.

De 1583 à 1612, sous le règne de Rodolphe II du Saint Empire , elle est de nouveau capitale impériale et connait une ère de prospérité culturelle à laquelle met fin la seconde défenestration de Prague ben 1618 qui déclenche la guerre ouverte de la noblesse tchèque, largement protestante, envers le pouvoir impérial (et catholique) des Habsbourg et, au niveau européen, la guerre de Trente Ans.
La défaite des armées tchèques à la bataille de la Montagne Blanche en novembre 1620 et la décapitation, place de la Vieille-Ville, des vingt-sept meneurs de la révolte marquent, pour longtemps, la fin des espoirs d'indépendance des États de Bohême.
Au niveau politique, en 1627, Ferdinand II annule la Charte de Vladislav Jagellon (1500) et impose la Nouvelle Charte des États de Bohême (en allemand, Verneuerte Landesordnung, en tchèque, Obnovené zřízení zemské) qui impose la germanisation de l'enseignement et de l'administration.

La paix de Prague y est signée en 1635 entre l'empereur et certains princes allemands protestants. En 1648, à la fin de la guerre de Trente Ans, la rive gauche de la ville (Hradčany et Malá Strana) est envahie et pillée par les armées protestantes suédoises peu avant que les traités de Westphalie ne mettent fin aux hostilités qui ont mis l'Europe centrale à feu et à sang.
S'ensuit un siècle de paix qui voit la ville s'embellir avec l'édification de chefs-d'œuvre baroques comme l'église Saint-Nicolas de Malá Strana, les palais Kinský et Šternberk, l'archevêché de Prague et l'achèvement baroque du Château de Prague.
Le 12 février 1784 est une date importante dans l'histoire de Prague : elle naît alors officiellement de la fusion des quatre villes originelles que sont :
- Hradcany, le quartier « noble » autour du Château de Prague,
- Mala Strana , le « Petit-Côté » sis entre Hradčany et la Vltava
- la Vieille Ville,
- la Nouvelle Ville, créée en 1348.
La "métropole royale de Prague" est la seconde ville de l'Empire avec soixante-seize-mille habitants et 143
hectares. Josefov, le ghetto juif au sein même de la Vieille Ville conserve encore un statut séparé et autonome.
Le XIX eme siècle
:
En 1848, toute l'Europe démocratique se soulève contre ses monarques et Prague est l'un des centres les plus radicaux en la matière. Cependant, le prince de Windisch-Graetz entre dans la ville le le 27 juin 1848, et dissout dans le sang la Diète de Bohême.

Prague, où se côtoient toujours et s'affrontent souvent Tchèques, Allemands et juifs , devient un véritable
« bouillon de culture ».
Les fortifications du Moyen Âge sont progressivement abattues pour faire place à une ville en pleine croissance (elle atteint le demi-million
d'habitants à la fin du siècle). Les Tchèques prennent peu à peu le pouvoir et leur revanche : ils ont la majorité du premier conseil municipal en 1861.
La ville est modernisée et étendue. En 1922, la Grande Prague est fondée Elle connait un développement urbain sans précédent, se voit adjoindre nombre de théâtres, la place Venceslas est refaite, en 1928, pour faire place au trafic automobile, la cathédrale Saint Guy est achevée en 1929 à temps pour fêter dignement le millénaire de la mort de Saint Venceslas.

La crise de 1929 ralentit ce développement sans pour autant l'arrêter. L'aéroport de Praha Ruzyne est alors mis en service. En 1938, Prague compte un million d'habitants.
Le cubisme connaît une vogue toute particulière grâce à des architectes comme Pavel Janák, Josef Gočár ou Josef Chochol qui créent ce style typiquement tchécoslovaque : le rondocubisme. Un quartier entièrement cubiste se construit à Vyšehrad.

Peu avant la Seconde Guerre mondiale, Prague accueille les réfugiés tchèques expulsés des Sudètes rattachés au Troisième Reich suite aux accords de Munich. Le 15 mars 1939, la Bohême-Moravie est conquise dans son intégralité et Adolf Hitler parade au Château de Prague. Les universités et grandes écoles sont fermées et les manifestations estudiantines réprimées dans le sang. Le 27 mai 1942, dans Hradčany, un attentat coûte la vie au SS-Obergruppenführer Reinhard Heydrich, surnommé « le bourreau ».

Prague perd une part importante, sinon en nombre du moins en ce qu'elle participait indéniablement au rayonnement culturel de la ville, de sa population. Exilés, ou déportés au camp de concentration de Theresienstadt ou ailleurs, la communauté juive de Prague est - littéralement - décimée.
Le 5 mai 1945 éclate la Libération de la ville par une Résistance largement improvisée autour d'un Conseil national tchèque (Česká národní rada ou ČNR) qui prend la tête de l'insurrection. Le 8 mai, les troupes allemandes capitulent et selon des accords préalables, l'Armée rouge « libère » Prague le 9 mai 1945.

Peu après la Seconde Guerre mondiale, le Parti communiste tchécoslovaque monte en puissance. Les élections de 1946 et de 1948 donnent la majorité aux communistes à Prague qui y organisent, en février 1948 le coup de Prague.
Un impressionnant monument à la gloire du camarade Staline est construit sur le front du Parc de Letná : ouvriers, kolkhoziens et soldats se pressent derrière le « petit père des peuples » en un ensemble, sinon grandiose, du moins impressionnant.

En 1960, une nouvelle sectorisation de la ville est adoptée (de 1 à 10), laquelle est encore largement en place aux débuts du XXI eme siècle et quatre villes de banlieue supplémentaires sont absorbées par la métropole. La décennie des années soixante est surtout marquée par un programme de construction massif dans les banlieues où la construction en panneaux préfabriqués fait surnommer les HLM tchécoslovaques panelák (mot construit à partir du mot « panneau »).
En 1968, le Printemps de Prague marque la ville de façon éphémère, il est écrasé en août par les tanks des armées du Pacte de Varsovie. L'aéroport de Praha-Ruzyně voit atterrir les avions russes avec des équipements de combat. Les Pragois improvisent une résistance et des combats ont lieu, en particulier autour de la radio-télévision tchécoslovaque et du musée national tout proche. Le XIV eme congrès du PCT marque la fin des hostilités, du Printemps de Prague et le début de la Normalisation en Tchécoslovaquie.
En 1969, Prague devient la capitale de la République socialiste tchèque, l'une des deux républiques de la République socialiste tchécoslovaque (dont elle reste la métropole) qui se transforme en une fédération sans que son nom, cependant, ne soit changé.
Mais ces années sombres au niveau politique et stagnantes au niveau économique n'empêchent pas la ville de continuer sa croissance. Le projet, presque centenaire, du métro de Prague et celui de la magistrála, la voie rapide qui traverse la ville sont mis en œuvre. Le pont de Nusle joint les deux projets en faisant passer le métro sous l'entablement du pont routier.
Les années 1980 voient quelques grands travaux entrepris pour équiper ou embellir la ville : le théâtre national de Prague est restauré et rouvert en 1983, le Palais des congrès ouvre ses portes et le quartier de Pankrác se couvre de tours plus ambitieuses (et plus vides) les unes que les autres. À Žižkov, la tour d'émission de la radio-télévision tchécoslovaque est alors édifiée et reste à ce jour le point culminant de la ville.

La Révolution de velours, en 1990, marque pour Prague comme pour le reste du pays un grand changement : les signes du pouvoir communiste sont supprimés et le nom de certaines rues, places ou stations du métro sont « démocratisés ». Le pape Jean-Paul II honore la ville de leur visite.
En 1992, le centre historique de la ville est inscrit sur la liste du patrimoine mondial. Au 1er janvier 1993, elle devient la capitale de la République tchèque.
Une réforme administrative, en 1995, définit une nouvelle segmentation des différents arrondissements de la ville qui deviennent plus autonomes. Vers la fin des années 1990, les banlieues voient l'éclosion des premiers centres commerciaux sur le modèle de ceux de l'ouest.
La crue « bimillénaire » de la Vltava, en août 2002, nécessite l'évacuation de parties entières de la ville : Karlín, Holešovice ou le bas de Malá Strana se retrouvent sous les eaux. Si le métro de Prague est alors, lui aussi, inondé et mis hors service pour environ six mois, cela a lieu au milieu de la nuit et on ne déplore aucune victime. Par chance également, la Vieille Ville est protégée par des barrières anti-inondations et, contrairement aux inondations précédentes, reste hors d'atteinte des eaux.

L'ESTHÉTIQUE DE HEGEL
Dans son Esthétique, Hegel propose en même temps qu'une formidable compréhension esthétique et historique du devenir de l'Esprit dans l'Art, une théorie de " la fin de l'art " qui s'apparente dans une certaine mesure à une critique du statut de l'art lui-même.
En effet puisque l'art est un mode privilégié de révélation de l'Esprit-Dieu, il convient de savoir dans quelle mesure il représente un mode d'expression adéquat de ce dernier.
Or du fait de sa nature sensible l'Art se révèle être inférieur à la religion et à la
philosophie du point de vue de la connaissance de soi de l'Esprit.
Dans la troisième section, troisième partie, de L' Abrégé de l'encyclopédie des sciences philosophiques, Hegel développe le point de vue de la hiérarchie des différents modes
d'expression adéquate de Dieu.
Si l'Art apparaît comme l'un des éléments déterminants de l'auto-révélation du principe divin qui organise le monde, il se trouve dépassé du point de vue du contenu de l'expression spirituelle par la Religion qui parle plus directement au sentiment et par la philosophie qui, parce qu'elle émane de la raison, parvient à saisir l'essence de l'Idée de l'Esprit.
Lorsque Hegel parle donc d'une " fin de l'art " c'est en tant qu'il est limité du point de vue de la manifestation de l'essence de l'Esprit. C'est du point de vue du système total du savoir que l'art se trouve " critiqué " : il est dépassé par la science philosophique qui seule est apte à saisir et manifester la nature divine de l'Idée et du Concept qui se réalise de manière dialectique dans le monde.
Jameswinston Co.

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Cindy Et Janus Choré Auvergnate !
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Slovènie 2008 : Rebeka Dremelj - Vrag Naj Vzame
Sama na tleh, zadnja solza zate v očeh
Brišem sledi ki jih pustil je poraz
Ti brez besed, v trenutku si zrušil moj svet
Zdaj zbiram vse sence ljubezni da vržem ti jih v obraz
Vrag naj vzame vse kar je med nama
Tvoje slike mečem zdaj na tla
Vrag naj vzame zdaj naprej grem sama
Trgam vse spomine da se čimprej konča
Ne dovolim da še kdaj me pogledaš v oči
Zdaj več v meni ničesar zate ni
Tujec si mi, ki na ulici ga ne spoznam
Ko vidim te grem mimo tebe, glavo obrnem v drugo stran
Vrag naj vzame vse kar je med nama
Tvoje slike mečem zdaj na tla
Vrag naj vzame zdaj naprej grem sama
Trgam vse spomine da se čimprej konča
Vrag naj vzame vse kar je med nama
Zate solze vem da so zaman
Zdaj med nama je samo še drama
Ki ne bo vrnila ukradenih mi sanj
(Ukradenih mi sanj) Sanj
Zlomil si me priznam
A grem naprej
Sama v vsak nov dan
Močnejša sem kot prej
Vrag naj vzame vse kar je med nama
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Zdaj med nama je samo še drama
Ki ne bo vrnila ukradenih mi sanj
