Agir pour Ingrid devient Agir avec Ingrid !
AgirpourIngrid.com - Paris - 17/07/08
Ingrid est libre !
Le nom que nous avions adopté il y a 6 ans n’a plus de raison d’être : Comité de soutien à Ingrid, Clara et tous les otages en Colombie.
C’est donc dans une immense joie que nous avons décidé le jour de sa libération de nous transformer pour mieux renaitre dans le nouveau combat qui nous attend : poursuivre la mobilisation pour la libération de tous les autres otages.
Nous nous engageons ici même à défendre avec autant d’opiniâtreté la cause des otages politiques en Colombie.
Nous considérons toujours, et plus que jamais, que la situation des otages politiques est un préambule à une prise de conscience plus générale qui favorisera la diminution voire la suppression des prises d’otages économiques.
Cette adaptation de notre première structure après plus de 6 ans de combat est l’occasion de vous remercier tous et toutes.
Nous savons tous que la mobilisation internationale a été déterminante dans le déroulement des opérations.
LE NOUVEAU VISAGE DE CALVIN KLEIN UNDERWEAR

La marque américaine Calvin Klein vient d’annoncer le nom de celui qui se dénudera pour sa nouvelle campagne underwear. C’est Garrett Neff – déjà égérie du parfum Calvin Klein Man et de la ligne jeans – qui va endosser ce nouveau rôle.

Shooté par Bruce Weber, le mannequin de 23 ans a pris la pose à Miami en sous-vêtements issus de la collection hiver 2008-09 sous la direction artistique de Fabien Baron. Cette nouvelle campagne sera diffusée dans la presse de 17 pays dès le mois de septembre. La série de clichés sera également affichée sur des panneaux publicitaire géant dans différentes villes, New York, Valence, Barcelone, Séoul, Los Angeles et Madrid.
Alexandre Despatie est l'ennemi n°1 des Chinois

Alexandre Despatie fait trembler la Chine ! Selon la nouvelle édition du mensuel "L'Actualité", le Québecois serait le seul "mortel" que craindraient les plongeurs chinois qui rêvent de triomphe à domicile aux Jeux Olympiques de Pékin, du 8 au 24 août prochain.

Il faut dire qu'à 23 ans, Alexandre Despatie dispose déjà d'un solide palmarès : un titre aux Mondiaux de Barcelone en 2003, une médaille d'argent aux JO d'Athènes en 2004, deux médailles d'or l'année suivante aux Championnats du Monde de Montréal, deux nouvelles médailles internationales (en argent) à Melbourne en 2007... Le petit surdoué des plongeoirs sait comment déployer des jambes qui ont récemment été élues les plus belles du Canada !

A Pékin, Alexandre Despatie s'alignera sur les épreuves du tremplin de 3 mètres, en solo comme en duo (avec son habituel binôme Arturo Miranda). L'idole du Québec - McDonald's en a fait son ambassadeur là-bas depuis 1999 - a pourtant été à un doigt de pied (le 5ème métatarsien droit, fracturé à l'entraînement en avril) de déclarer forfait pour cette échéance olympique. Malheureusement pour les Chinois, Despatie est aujourd'hui totalement remis d'une blessure qui n'a finalement fait que décupler sa soif de décrocher sa première médaille d'or olympique ("Quand je vais me présenter à Pékin, en août, j’aurai plus envie de gagner que les autres. Je serai probablement plus concentré que si je n’avais pas eu cette blessure" a-t-il.


Deliodietz underwear

Nous vous présentons la marque Deliodietz qui est une marque de sous vêtements mexicaine.


Deliodietz cherche à traduire l'esthétique et l'harmonie du corps masculin en rapport avec son sous-vêtement.



L’Empire du Brésil (1822-1889) - (3)

3- Aux côtés de ces deux empereurs du Brésil, il faut également mentionner la princesse impériale Isabelle de Bragance (1846-1921) qui fut trois fois régente du Brésil (en 1871-1872, en 1876-1877 puis en 1887-1889), avant d’être, également et à partir de 1891 jusqu'en 1921, de jure (mais pour les monarchistes brésiliens seulement...), l’impératrice en exil « Isabelle Ière » du Brésil (1891-1921) : puisque étant l’aînée des enfants survivants de l’empereur Pierre II du Brésil et de sa femme (Marie-Thérèse de Bourbon-Sicile).

Une princesse impériale du Brésil qui avait épousé, à Rio de Janeiro, le prince français Gaston d’Orléans (1842-1922), fils aîné de Louis d'Orléans (Duc de Nemours) et Comte d’Eu (i. e : petit-fils du roi des Français Louis-Philippe Ier). Formant là une nouvelle dynastie : les Orléans-et-Bragance.

D’ailleurs ce mari français destiné à être prince consort du Brésil - Gaston d’Orléans, Comte d’Eu – allait demander à l’empereur Pedro II la permission de s’engager dans la guerre que livre alors le Brésil contre son voisin, le Paraguay. Le prince reçu alors du souverain le statut de Maréchal de l’Armée. Puis, dans la phase finale du conflit, il assumerait le commandement des troupes brésiliennes, ce qui fut source de préoccupations pour la princesse Isabelle mais surtout d’opposition dans certains cercles brésiliens (dans la mesure où le prince Gaston ne prend pas toujours des décisions militaires très sages...).

En 1871-1872, l’empereur du Brésil Pierre II se rendit en voyage en Europe. Alors, la princesse Isabelle dut assumer la régence à l’âge de 24/25 ans. Et c’est durant cette période qu’est signée la « Loi du Ventre libre », qui donne la liberté aux enfants d’esclaves nés après l’année 1871.
Libérale, la princesse Isabelle soutient alors fermement les partisans de l’abolition de l’esclavage et appuiera ainsi le combat dans ce sens de nombreux jeunes politiciens et artistes. Or, à l’époque, une grande partie des abolitionnistes sont liés au mouvement républicain. Par ailleurs, avec sa cassette personnelle, la princesse impériale soutient l’artisanat des anciens esclaves et appuie également le quilombo de Leblon, qui cultive les camélias blancs, symboles de l’abolitionnisme.
En juin 1887, la princesse Isabelle assume pour la troisième fois de sa vie la régence et décide alors très vite d’en terminer avec le régime esclavagiste. Cependant, sa volonté d’abolition soulève une forte opposition de la part des grands propriétaires terriens (les « fazendeiros ») et les relations de la princesse avec son cabinet ministériel conservateur (et notamment avec le ministre Cotegipe) se tendent.

Néanmoins, la princesse profitera finalement d’une émeute urbaine pour renvoyer ses ministres et nommer un nouveau cabinet ayant à sa tête son conseiller, João Alfredo : la route vers la liberté est dès lors assurée pour les noirs de l’Empire, ce qui lui vaudra par la suite le surnom d’« Isabelle la Rédemptrice ».
Le 13 mai 1888 ont lieu les derniers votes concernant l’abolition de l’esclavage, abolition consacrée par la signature de la « Loi d’Or » (Lei Aurea) qui met fin à l’esclavage au Brésil. Mais, au Brésil, tout le monde ne sera pas aussi satisfait que cela de l’abolition. Le baron (et ministre conservateur) de Cotegipe ne s’y trompe d’ailleurs pas lorsqu’il déclarera à la princesse : « Votre Altesse a libéré une race, mais elle a perdu le trône ».
En effet, un peu moins d’un an après l’abolition, le 15 novembre 1889, la monarchie brésilienne s’écroule : inspirés par les radicaux positivistes et appuyés par les fazendeiros, les militaires déposent le cabinet du vicomte de Ouro Preto et installent une dictature républicaine dans le pays. Et dès le matin du 17 novembre 1889, la princesse Isabelle et sa famille sont donc contraints de quitter le Brésil. Mais, avant de partir la princesse déclare : « si j’avais eu mille trônes, j’aurais donné mille trônes pour libérer les esclaves du Brésil »

En décembre 1891, l’empereur du Brésil Pierre II meurt à Paris et sa fille devient (de jure et pour les monarchistes brésiliens), l’impératrice « Isabelle Ière » du Brésil, souveraine désormais reléguée en exil en France : réfugiée avec sa famille au château familial d’Eu, en Haute-Normandie où elle aura cependant la joie d’apprendre, en septembre 1920, l’abrogation (par le président brésilien Epitacio Pessoa, lors des fêtes du centenaire de l’indépendance du Brésil) de la loi d’exil touchant alors sa famille.
Isabelle de Bragance mourra en 1921 sans avoir pu revoir le Brésil mais y est quand même inhumée puisque ses restes sont conduits au Mausolée Impérial de la cathédrale de Pétropolis, en juillet 1953.