BLAKE Magazine n°10 : La belle cravatte









Photographe : Jean QUELQUEJEU
Modèle : Frédéric Trombe
Voir post : "On Board Guys"
AMI SANZURI
Ami Sanzuri LLC est basée à Los Angeles,. Ami est designer Israelo-Américain, venant d'Ashkelon en Israël s'installer aux Etats-Unis.
L'été, la ligne comprend un assortiment de maillots de bain, ainsi que des T-Shirts, des chemises sans manches, polo shirts, pantalons en lin, et les plafonds de ballast. Ils sont fabriqués au Brésil, tandis que le reste de la collection est fabriqué ici, en Amérique.

Il souhaite surfer sur la vague métrosexuelle : "l'attitude des Américains face à la mode a changé. Ils veulent être beaux, mettre en avant leurs atouts".

"Je viens d'un pays avec beaucoup de soleil et les gens qui aiment la plage» indique Ami , "J'avais l'atmosphère, j'ai juste besoin de concevoir autour de lui"


Ces vetêments sont conçus spécialement pour se sentir à l'aise et qu'ils puissent être portés décontractés.
Henri comte de Chambord
Henri
Charles Ferdinand Marie Dieudonné d'Artois, né au palais des Tuileries à Paris le 29 septembre 1820, et décédé à Frohsdorf (Autriche) le 24 août 1883, était un prétendant légitimiste à la
Couronne de France. Il fut le dernier descendant français de la branche des Bourbons au sein de la Maison de France. Il fut connu sous les noms de duc de Bordeaux, puis de
« comte de Chambord » et de
" Henri V".
Biographie
Henri d'Artois est le petit-fils du roi Charles X de France : fils posthume de Charles Ferdinand d'Artois, fils cadet du roi, et de son épouse Marie Caroline des Deux-Siciles. Son père fut assassiné plusieurs mois avant sa naissance, lui valant le surnom d'« enfant du miracle ».
À sa
naissance et jusqu'à l'abdication de son grand-père, il est titré duc de Bordeaux. Puis, en exil, il prend le titre de courtoisie de « comte de Chambord », du nom du château
qui lui avait été offert par une souscription nationale.
Jeunesse
En 1828, Charles X avait confié son éducation au baron de Damas. Cet éducateur d’un autre âge, « […] émigré au cœur pur et aux idées courtes », selon le duc de Castries, dont les fils avaient étudié chez les jésuites, déplorait la réédition des œuvres de Voltaire, et contribua amplement à transformer le futur « Henri V », en un catholique aussi dévot « [...] qui confond en une même foi le dogme religieux et le principe monarchique ». À un visiteur qui regrettait que le baron de Damas ait fait donner une éducation trop religieuse au duc de Bordeaux, il fut répondu : « [...] si le baron de Damas faisait de son élève un Saint-Louis, de quoi la France aurait-elle à se plaindre ? ».
Poussant Henri dans la voie de la restauration dès 1845, le baron lui écrivit de Hautefort : « Il faut une autorité nouvelle fondée sur un autre principe que celui des droits de l’homme, et Dieu la fera naître, ou la société périra ». C’est en effet cette société de l’ordre, momentanément incarnée par Mac-Mahon, que les droites monarchistes appellent de leurs vœux en 1873. Le 27 octobre 1873, Henri V écrit de Salzbourg à Pierre-Charles Chesnelong dans une lettre publiée par l'Union que son ambition est « […] d’assurer avec énergie le règne de la loi, […] et surtout de ne pas craindre d’employer la force au service de l’ordre et de la justice. Ce souci d'ordre n'empêchera pas le prince de s'intéresser aussi de très près aux questions sociales Thierry Ardisson ; Louis XX, 1986»

Le 2 août 1830, Charles X abdique en faveur de son petit-fils Henri. La loi salique donnait cependant le trône au fils aîné du roi, le dauphin
Louis Antoine de France (« Louis XIX »). Mais celui-ci, aussi impopulaire que Charles X, dut contresigner l'abdication de son père pour transmettre la couronne à son neveu, non sans
avoir hésité pendant une vingtaine de minutes pendant lesquelles il fut effectivement "Louis XIX de France et de Navarre". Henri d'Artois devient dès lors « Henri V » pour ses
partisans.
Cependant, le Parlement appelle au trône son cousin Louis-Philippe, duc d'Orléans, premier prince du sang, qui devient Louis-Philippe I er le 7 août. Entre-temps, du 2 au 7 août, le petit duc de Bordeaux fut fictivement le « roi Henri V » et Louis-Philippe, lieutenant-général du royaume. La famille royale part en exil le 16 août 1830.
En 1832, sa mère, la duchesse de Berry, provoque un soulèvement dans l'ouest de la France mais sa tentative échoue.
Après la mort de son grand-père en 1836 puis de son oncle en 1844, Henri d'Artois devient l'aîné de la maison de France. Ses partisans, appelés les légitimistes, resteront dans l'opposition sous la Monarchie de Juillet de Louis-Philippe I er , la Deuxième République et le Second Empire, tandis qu'Henri d'Artois est en exil.
En 1846, Henri d'Artois épouse Marie-Thérèse de Modène.
Vers une troisième Restauration ?
En 1870, l'Empire s'effondre après la défaite dans la guerre franco-prussienne.Otto von Bismarck accepte, en février 1871, l'organisation d'élections législatives, sous strict contrôle prussien, afin de disposer d'une
assemblée entérinant le traité de Francfort. Cette assemblée majoritairement royaliste est divisée
entrelégitimistes et orléanistes. Pour
permettre la restauration monarchique souhaitée par cette assemblée, un accord intervient entre les deux partis sur la prééminence du comte de Chambord, petit-fils de Charles X, sur le comte de Paris, petit-fils de Louis-Philippe.
Celui-ci est reconnu par les orléanistes et certains légitimistes comme héritier du comte de Chambord, sans enfant (le cousin le plus proche du comte de Chambord selon la loi salique, le comte de
Montizón, Jean de Bourbonétant exclu de jure de la succession au trône, en raison notamment des renonciations,
(sans véritable valeur légale pour qui connaît les lois fondamentales et la tradition de la monarchie française, mais imposées par Louis XIV
lui-même à ses descendants «espagnols» intervenues lors des traités d'Utrecht)et ayant
ainsi force de loi).
En 1873, l'accès au trône du comte de Chambord semble inéluctable et le gouvernement fait réaliser une série de carrosses (visibles
aujourd'hui auChâteau de Chambord) pour son entrée à Paris (des monnaies à son effigie sont d'ailleurs frappées et des
timbres émis par les Postes). Il est prévu que le maréchal de Mac-Mahon, président de la République, mène le comte de
Chambord à l'Assemblée nationale pour l'y faire reconnaître roi par acclamation.
Toutefois celui-ci, par le manifeste du drapeau blanc du 5 juillet 1871 réitéré par lettre le 23 octobre 1873, refuse d'abandonner le drapeau blanc pour le drapeau tricolore, héritage de la Révolution, ruinant les espoirs d'une restauration monarchique rapide ("Henri V ne peut abandonner le drapeau blanc d'Henri IV"). Charles Maurras écrira plus tard: « il a été prêtre et pape de la royauté plutôt que roi. » Peut-être aussi a-t-il simplement compris qu'une monarchie relevée par quelques voix seulement de majorité, donc menacée à chaque élection, et sans que soit tranchée la question de la succession au trône, serait trop fragile, au point de s'effondrer à la moindre occasion, ou de devoir être soutenue par une répression sanglante, ce qu'aucun Bourbon n'a jamais souhaité (cf les exemples de Louis XVI en 1789-1792 et Charles X en 1830).
L'avènement de la République
Les orléanistes (partisans de la Monarchie de juillet constitutionnelle) et certains légitimistes dépités décident alors d'attendre la mort du comte de Chambord pour présenter un candidat plus diplomate, son cousin, Philippe d'Orléans, comte de Paris et petit-fils de Louis-Philippe. C'est pour ce faire qu'ils décident de porter la durée du mandat présidentiel à sept ans, la république n'étant envisagée que comme un mode de gouvernement temporaire. Mais après la mort d'Henri V en 1883, l'opinion publique avait adopté la République comme la forme de gouvernement qui nous divise le moins, pour reprendre les mots d'Adolphe Thiers et les élections avaient mené à l'Assemblée une majorité républicaine. Tout espoir de restauration monarchique s'évanouissait, et le nom de "République" apparaissait officiellement.
La mort du comte de Chambord
Le comte de Chambord meurt en exil à Frohsdorf (Autriche) en 1883, sans descendance. Légitimistes et orléanistes français reportent leurs espoirs de restauration de la monarchie sur le comte de Paris, héritier politique désigné d'Henri V. Cependant, certains royalistes, surnommés les Blancs d'Espagne, incapables de soutenir un membre de la famille d'Orléans, reconnaissent Jean de Bourbon, comte de Montizon et désormais aîné des Capétiens, comme héritier du trône de France.
« Henri V » est inhumé à Nova Gorica (maintenant en Slovénie, à l'époque en Autriche-Hongrie).
Cependant, jusqu'au milieu du XX eme siècle, ce débat reste minoritaire dans les milieux royalistes français, l'héritage des Orléans faisant l'objet d'un large consensus politique, tant les princes carlistes semblent incapables de soutenir leurs prétentions françaises. En effet, les Bourbons d'Espagne, même s'ils ont plusieurs fois affirmé leur héritage, sont alors trop occupés par les querelles au sujet de la succession au trône d'Espagne, qui occupent la scène politique espagnole depuis l'accession au trône d'Isabelle II.
Cependant, depuis la renonciation définitive au trône espagnol du duc de Madrid, Jacques-Henri de Bourbon en 1969 qui permit la montée sur le trône de Juan-Carlos et la restauration monarchique en Espagne à la mort de Franco, une importante partie des royalistes français soutient à nouveau la branche aînée des Bourbons en la personne du prince Alphonse, et aujourd'hui, de son fils Louis.

Concours Eurovision de la chanson 1993
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Finale | 15 mai 1993 |
Présentateurs | Fionnuala Sweeney |
Télédiffuseur hôte | RTÉ |
Lieu |
Green Glens Arena, Millstreet![]() |
Chanson gagnante |
In Your Eyes par Niamh Kavanagh![]() |
Nombre de participants | 25 |
Pays débutants |
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Désistement |
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Ouverture | L'histoire d'Eochaid Airem et Étain dans la mythologie celtique, à travers des images de l'Irlande rurale d'aujourd'hui |
Résultats en finale, le 15 mai 1993
Netherlands : Ruth Jacott -"Vrede"
Coup de coeur : Le vieux four à Montpellier
Nous vous présentons notre restaurant coup de coeur à Montpellier : "le Vieux Four"
Pour plus d'information lire l'excellent post de "On Board guys"
Un grand Merci pour Christophe et Maurice pour leur acceuil !