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les chroniques d'Istvan

Le calendrier de Dale Howard 2009

7 Novembre 2008 , Rédigé par Istvan Publié dans #Blog actualité

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Beautiful man (125)

6 Novembre 2008 , Rédigé par Istvan Publié dans #Beautiful Man - Models

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Concours Eurovision de la chanson 1997

6 Novembre 2008 , Rédigé par Istvan Publié dans #Eurovision


Finale 3 mai 1997
Présentateurs Carrie Crowley
Ronan Keating
Télédiffuseur hôte RTÉ
Lieu Point Theatre, Dublin
Irlande Irlande
Chanson gagnante Love Shine a Light
par Katrina and the Waves
Royaume-Uni Royaume-Uni
Nombre de participants 25
Pays de retour Danemark Danemark
Allemagne Allemagne
Hongrie Hongrie
Russie Russie
Italie Italie
Désistement Belgique Belgique
Finlande Finlande
 Slovaquie
Israël Israël

Résul
tats en Finale, le 3 mai 1997


Pays
Artiste Chanson
Langue(s) Place Points
Royaume-Uni Royaume-Uni Katrina and the Waves Love shine a light Anglais 1 227
Irlande Irlande Marc Roberts Mysterious woman Anglais 2 157
Turquie Turquie Şebnem Paker Dinle Turc 3 121
Italie Italie Jalisse Fiumi di parole Italien 4 114
Chypre Chypre Hara & Andreas Constantinou Μάνα μου (Manan mou) Grec 5 98
Espagne Espagne Marcus Llunas Sin rencor Espagnol 6 96
France France Fanny Sentiments songes Français 7 95
Estonie Estonie Maarja-Liis Ilus Keelatud maa Estonien 8 82
Malte Malte Debbie Scerri Let me fly Anglais 9 66
Slovénie Slovénie Tanja Ribič Zbudi se Slovène 10 60
 Pologne Anna Maria Jopek Ale jestem Polonais 11 54
Grèce Grèce Marianna Zorba Χόρεψε (Horepse) Grec 12 39
Hongrie Hongrie V.I.P. Mièrt kell hogy elmenj ? Hongrois 12 39
Suède Suède Blond Bara hom älskar mej Suédois 14 36
Russie Russie Alla Pugacheva Примадонна (Diva Primadonna) Russe 15 33
Danemark Danemark Thomas Lægård & Kølig Kaj Stemmen i mit liv Danois 16 25
Croatie Croatie ENI Probudi me Croate 17 24
Bosnie-Herzégovine Bosnie-Herzégovine Alma Good-bye Bosniaque 18 22
Allemagne Allemagne Bianca Shomburg Zeit Allemand 18 22
Islande Islande Paul Oscar Minn hinsti dans Islandais 20 18
Autriche Autriche Bettina Soriat One step Allemand 21 12
Pays-Bas Pays-Bas Mrs Einstein Niemand heeft nog tijd Néerlandais 22 5
Suisse Suisse Barbara Berta Dentro di me Italien 22 5
Norvège Norvège Tor Endresen San Francisco Norvégien 24 0
Portugal Portugal Célia Lawson Antes do adeus Portugais 24 0

ESC 1997 Recap
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International Jockster

6 Novembre 2008 , Rédigé par Istvan Publié dans #Mode - fashion

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Philippe d'Orléans (1838-1894)

6 Novembre 2008 , Rédigé par Istvan Publié dans #Histoire

Louis Philippe Albert d'Orléans, comte de Paris, est né au palais des Tuileries à Paris, le 24 août 1838, et est décédé à Stowe House, dans le Buckinghamshire, en Angleterre, le 8 septembre 1894. Il est prince royal de France de 1842 à 1848 puis prétendant orléaniste au trône de France sous le nom de « Philippe VII » de 1848 à 1873 et de 1883 à 1894. Le comte de Paris est également un combattant et un historien de la Guerre de Sécession.

À sa naissance, le prince Philippe incarne la vitalité de la Maison d'Orléans et reçoit le titre de comte de Paris de son grand-père, le roi Louis-Philippe I er. Quatre ans plus tard, en 1842, l’enfant perd son père, Ferdinand-Philippe d'Orléans, et devient donc l’héritier de la Monarchie de Juillet. Or, le tout nouveau prince royal est trop jeune pour représenter la stabilité et pour rassurer les opposants à la politique de son grand-père. Par conséquent, lorsqu’éclate la révolution de 1848, sa famille est incapable de le faire proclamer roi des Français et la Seconde République se met en place. Commence alors une longue période d’exil qui dure jusqu’en 1871 et durant laquelle le prétendant orléaniste trompe difficilement son ennui. Au début des années 1860, Philippe d’Orléans se rend aux États-Unis pour s’engager dans la Guerre de Sécession et, de cette expérience, il ramène une Histoire de la Guerre civile en Amérique.

Après la chute du Second Empire en 1870, le comte de Paris regagne la France et s’investit dans la vie politique. Afin de renforcer les partisans d’une restauration monarchique, il accepte de reconnaître le « comte de Chambord » comme seul et unique chef de la Maison de France en 1873.

Cependant, l’intransigeance du petit-fils de Charles X vis-à-vis des symboles de l’Ancien Régime rend impossible le retour de la monarchie et le comte de Paris doit se contenter d’attendre la mort de son cousin pour reprendre un rôle politique important. En 1883, le « comte de Chambord » trouve finalement la mort et la majorité des monarchistes se rallie au comte de Paris. Mais à cette date, la République a eu largement le temps de se renforcer et le prétendant ne parvient pas à prendre le pouvoir. En 1886, le vote d’une nouvelle loi d'exil contraint le comte de Paris et sa famille à quitter le territoire national mais le prince continue à essayer d'intervenir dans les affaires de la France. À chaque crise que connaît le pays, et particulièrement lors de l'Affaire Boulanger et du Scandale de Panama, le chef des Orléans espère pouvoir monter sur le trône. Néanmoins, chaque espoir de restauration est suivi d'une nouvelle déception et le comte de Paris meurt en exil au Royaume-Uni sans avoir eu l'occasion de réaliser son rêve.

Famille

Le comte de Paris est le fils aîné de Ferdinand Philippe d'Orléans (1810-1842), prince royal de France, et de son épouse la princesse Hélène de Mecklembourg-Schwerin (1814-1858). Par son père, il est le petit-fils et l'héritier du roi des Français Louis-Philippe I er (1773-1850) et de son épouse la reine Marie-Amélie des Deux-Siciles (1782-1866), tandis que, par sa mère, il est l'arrière-petit-fils du grand-duc Frédéric-François I er  de Mecklembourg-Schwerin (1756-1837). 

Le comte de Paris (de profil) et son frère, le duc de Chartres (de face).

Le prince Philippe a pour seul frère Robert d'Orléans (1840-1910), duc de Chartres, dont descendent en ligne masculine les prétendants actuels de la Maison d'Orléans.

Le 30 mai 1864, le prince Philippe épouse à Kingston-sur-Thamise, au Royaume-Uni, sa cousine germaine l'Infante franco-espagnole Marie-Isabelle d'Orléans (1848-1919), elle-même fille d'Antoine d'Orléans (1824-1890), duc de Montpensier.

De cette union naissent 8 enfants :

  • Marie-Amélie d'Orléans (1865-1951) qui se marie au roi Charles I er de Portugal (1863-1908) ;
  • Philippe d'Orléans (1869-1926) (1869-1926), « duc d'Orléans » et prétendant au trône de France sous le nom de « Philippe VIII », qui s'unit à l'archiduchesse Marie-Dorothée de Habsbourg-Lorraine (1867-1932) ;
  • Hélène d'Orléans (1871-1951) qui épouse Emmanuel-Philibert de Savoie (1869-1931), duc d'Aoste ;
  • Charles Philippe d'Orléans (21 janvier 1875-8 juin 1875) ;
  • Isabelle d'Orléans (1878-1961), qui se marie à son cousin Jean d'Orléans (1874-1940), « duc de Guise » et prétendant au trône de France sous le nom de « Jean III » ;
  • Jacques Marie Clément d'Orléans (5 avril 1880-22 janvier 1881) ;
  • Louise d'Orléans (1882-1958), qui s'unit à Charles de Bourbon (1870-1949), prince des Deux-Siciles et Infant d'Espagne ;
  • Ferdinand d'Orléans (1884-1924), « duc de Montpensier », qui épouse Marie-Isabelle Gonzalez de Olaneta e Ibarreta (1897-1958), marquise de Valdeterrazzo et grande d'Espagne.

Biographie 

  • Sous la Monarchie de Juillet
Un héritier pour les Orléans

Quinze mois après le mariage de ses parents, le prince Philippe voit le jour au Palais des Tuileries, résidence de la famille royale de France. Après avoir un moment envisagé de le nommer « prince d’Alger », son grand-père, le roi Louis-Philippe I er, ressuscite pour lui le titre de « comte de Paris », porté auIX eme siècle par le roi des Francs Eudes I er, l'un des fondateurs de la dynastie capétienne. L'initiative est destinée à rappeler aux autres maisons souveraines d'Europe l'ancienneté de la maison d'Orléans en même temps que son attachement à la capitale française, à laquelle les Bourbons de la branche aînée avaient, eux, préféré Versailles.

Le duc d'Orléans, père du comte de Paris

Les premières années du prince sont heureuses et celui-ci grandit au milieu d’une famille aimante et attentionnée. En décembre 1840, sa mère, la princesse Hélène de Mecklembourg-Schwerin, importe ainsi pour lui, d'Allemagne, la coutume de l’arbre de Noël.

Cependant, le comte de Paris devient très tôt orphelin de père. Le 13 juillet 1842, Ferdinand-Philippe d'Orléans meurt, en effet, dans un accident de cabriolet alors qu'il se rend en visite à Neuilly, chez ses parents. Âgé d'à peine quatre ans, le jeune comte de Paris devient alors l'héritier de son grand-père, le roi Louis-Philippe, et reçoit en conséquence le titre de prince royal. Cependant, avec le décès du duc d'Orléans, se pose très vite la question de la survie de la Monarchie de Juillet. En 1842, le vieux souverain, dont la politique est de plus en plus réactionnaire, a en effet soixante-neuf ans et il est peu probable qu'il vive jusqu'à la majorité de son petit-fils. Le régime doit donc nommer un régent pour effectuer la transition entre les deux règnes. Plusieurs choix s'offrent au roi : ses quatre fils survivants, le duc de Nemours, le prince de Joinville, le duc d'Aumale et le duc de Montpensier, ou sa belle-fille, la duchesse d'Orléans. Suivant la règle dynastique, le monarque choisit son deuxième fils, Nemours. Or, celui-ci a la réputation d'être le plus conservateur des Orléans et la décision royale est très mal accueillie par le peuple, qui préfèrerait voir Joinville, Aumale ou la duchesse d'Orléans à la tête du pays.

  • La révolution de 1848

À partir de 1846, la crise s'abat sur la Monarchie de Juillet. Des difficultés économiques et une série de scandales financiers discréditent le roi et son gouvernement tandis que la campagne des banquets illustre le regain de popularité du mouvement républicain. En février 1848, la décision de François Guizot, le Président du Conseil, d'interdire le dernier des banquets cristallise les oppositions et des émeutes se produisent à Paris à partir du 22. Rapidement, les manifestations prennent de l'ampleur et se transforment en révolution. Le 23 février, Louis-Philippe renvoie Guizot ce qui semble d'abord calmer les foules. Mais, après quelques heures d'accalmie, les troubles reprennent et l'Armée tire sur des manifestants. Submergé par les révolutionnaires et refusant de faire couler davantage de sang, le roi Louis-Philippe abdique le 24 février en faveur de son petit-fils le comte de Paris, alors âgé de neuf ans. Conscient de son impopularité, le duc de Nemours décide quant à lui de renoncer à la régence au profit de sa belle-sœur, qui jouit elle d'une réputation de libérale.

Au début de l'après-midi du 24, la duchesse d'Orléans se rend donc au Palais-Bourbon avec ses enfants et son beau-frère Nemours pour y faire investir son fils aîné et se faire proclamer régente. Dans leur majorité, les députés semblent favorables à cette solution et André Dupin demande à la Chambre de prendre acte des acclamations que reçoit la duchesse. Une discussion, menée par Odilon Barrot, s'engage alors sur la loi de régence. Mais les voix des partisans de la monarchie sont peu à peu couvertes par les huées du public venu assister aux délibérations. Une foule armée envahit la salle des débats tandis que les députés républicains Ledru-Rollin, Crémieux et Lamartine s'emparent de la tribune pour réclamer un gouvernement provisoire. Les Orléans sont alors brutalement évacués de la Chambre de députés et, dans la bousculade qui s'en suit, la princesse de Mecklembourg est séparée de ses enfants. Morte d'anxiété, la princesse met trois jours à localiser le petit duc de Chartres, qui a été recueilli par un boulanger parisien. Une fois réunis, la duchesse d'Orléans et ses enfants prennent le chemin de l'exil. Dans les mêmes moments, la Seconde République est proclamée en France.


Premier exil 
  • Querelles de famille

Au lendemain de la révolution de 1848, les membres de la famille royale gagnent tour à tour l'étranger tandis que le gouvernement provisoire vote le bannissement des Orléans le 26 mai. Louis-Philippe et Marie-Amélie s'installent ainsi au Royaume-Uni avec plusieurs de leurs enfants et petits-enfants. Les ex-souverains établissent leur résidence au château de Claremont, propriété du roi Léopold I er de Belgique lui-même gendre de Louis-Philippe et oncle du comte de Paris. De son côté, la duchesse d'Orléans préfère partir vivre avec ses enfants en Allemagne, dans le grand-duché de Saxe-Weimar-Eisenach. Blessée par le comportement du roi et de la reine à son égard lors des journées révolutionnaires, la princesse préfère en effet s'éloigner de ses beaux-parents.

Dans le même temps, la situation financière de Louis-Philippe et de sa famille devient de plus en plus précaire. Immédiatement après le vote de la déchéance des Orléans, le gouvernement provisoire place sous séquestre les biens du roi et de ses enfants. Or, sans ressource propre, la duchesse d'Orléans et ses enfants sont totalement tributaires des anciens souverains.

Après deux ans de brouille, la princesse Hélène finit par se réconcilier avec ses beaux-parents et, à partir du printemps 1850, le comte de Paris, le duc de Chartres et leur mère se rendent régulièrement en Angleterre. C'est d'ailleurs à Londres que le jeune prétendant orléaniste effectue, en présence de son grand-père, sa première communion, le 20 juillet 1850.

  • Reconnaître le duc de Bordeaux ?
En France, l’avènement de la république et l’élection au suffrage universel de Louis-Napoléon Bonaparte à la présidence poussent les monarchistes à s’interroger sur leurs stratégies politiques. De plus en plus d’orléanistes souhaitent le ralliement de  Louis-Philippe et de sa famille au petit-fils de Charles X, représentant de la légitimité dynastique. Cependant, de leur côté, les Orléans ne sont pas unanimes. Si les anciens souverains semblent reconnaître peu à peu la nécessité de la fusion des deux courants royalistes, la mère du comte de Paris s’oppose quant à elle avec force à la reconnaissance du duc de Bordeaux comme héritier de la couronne. Hélène de Mecklembourg-Schwerin se montre d'ailleurs profondément choquée par la lettre que lui envoie son beau-père et où ce dernier écrit, à propos de la succession au trône : « Mon petit-fils ne pourra jamais régner au même titre et aux mêmes conditions que moi qui ai fini par échouer. Il ne peut régner que comme roi légitime. Il y a pour lui plusieurs manières de devenir roi légitime : si le duc de Bordeaux mourait, si le duc de Bordeaux abdiquait, si le duc de Bordeaux régnait mais n'avait pas d'enfant, Paris devient roi légitime. Il doit rester en mesure pour toutes ces chances-là. » 

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Beautiful man (124)

5 Novembre 2008 , Rédigé par Istvan Publié dans #Beautiful Man - Models

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Les Major Models soutiennent Barack Obama ....

5 Novembre 2008 , Rédigé par Istvan Publié dans #Blog actualité

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Just like we dream it...

5 Novembre 2008 , Rédigé par Istvan Publié dans #Voyages



En souvenir d'un superbe week end .......................

 

Merci Krystof
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Barack Obama : le rêve réalisé ?

5 Novembre 2008 , Rédigé par Istvan Publié dans #Actualité


Le démocrate Barack Obama a remporté l'élection présidentielle américaine, devenant le premier président noir de l'histoire des Etats-Unis et tournant la page de huit années républicaines à la Maison blanche. Barack Obama, 47 ans, succédera officiellement à George Bush le 20 janvier 2009.

Barack Obama a remporté mardi une victoire historique et écrasante sur son adversaire républicain John McCain, devenant à seulement 47 ans, le premier noir élu président des Etats-Unis.

Le sénateur de l'Illinois a largement dépassé la barre de la majorité des 270 grands électeurs, totalisant pour l'instant un nombre de 364, contre 163 pour John McCain. Au niveau national, il obtient 52% des suffrages, soit 62,4 millions de votes.


Yes , you can !


«Le changement est arrivé en Amérique», leur a assuré Barack Obama lors de son premier discours de Président, répétant inlassablement le slogan «Yes, we can». «Ceux qui se demandent si l'Amérique est toujours ce pays où tout est possible ont leur réponse ce soir. Une réponse apportée par les jeunes, les personnes âgées, les afro-Américains, les blancs, les hispaniques,
des gays, des handicapés et des valides. les démocrates et les républicains. Nous sommes et nous serons toujours les Etats-Unis d'Amérique. Grâce à ce que nous avons réalisé aujourd'hui, l'heure du changement est arrivée.»


Il a continué: «Des américains qui ont envoyé un message au monde, affirmant que nous n'avons jamais été une somme d'individus ou un ensemble d'États rouges et d'États bleus. Nous sommes, et nous serons toujours, les États-Unis d'Amérique.»



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