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les chroniques d'Istvan

nature wildlife

Ne laissons pas le Tigre disparaitre‏......

5 Janvier 2011 , Rédigé par Istvan Publié dans #Nature Wildlife

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Jacques Chirac au salon Planète Durable

7 Avril 2009 , Rédigé par Istvan Publié dans #Nature Wildlife


Dans le cadre des activités de sa Fondation, le Président Jacques Chirac a visité  lrevendredi 3 avril 2009, le Salon Planète Durable, premier salon grand public européen dédié à la consommation durable. Convaincu qu’il convient d’inventer un nouveau modèle de développement, le Président Chirac souhaite, à l’occasion de cette visite, valoriser l’engagement des entreprises dans le développement durable, la lutte contre le réchauffement climatique, le développement du commerce équitable, la lutte contre la déforestation et l’importance de l’éco-citoyenneté.



Organisé pendant la semaine du développement durable, Planète Durable réunit, du 2 au 5 avril 2009, l’ensemble des produits, services et initiatives offrant une réelle plus value sociale et/ou environnementale dans tous les domaines de la consommation courante. De l’habitat à la mode, en passant par les transports, l’alimentation, les énergies renouvelables, les cosmétiques, le tourisme, les services bancaires…, toute l’offre éthique, bio, équitable, responsable sera présente au salon Planète Durable.


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WWF lance un appel pour sauver les ours polaires

12 Mars 2009 , Rédigé par Istvan Publié dans #Nature Wildlife

Le Fonds mondial pour la nature (WWF) a appelé jeudi les pays abritant l'ours polaire à se montrer exemplaires dans la lutte contre le changement climatique, principale menace pesant sur l'animal emblématique de l'Arctique. 



A quelques jours d'une importante réunion des cinq pays riverains de l'océan Arctique (Etats-Unis, Canada, Russie, Norvège, Danemark), WWF a sommé ces Etats de jouer un rôle moteur dans la réduction des émissions de gaz à effet de serre au nom des obligations prises pour la survie du plantigrade.

"C'est l'homme qui a créé le problème, c'est à lui de le résoudre", a déclaré Rasmus Hansson, secrétaire général de WWF Norvège, lors d'une rencontre avec la presse.


"Certains de ces pays sont aussi très importants dans la politique internationale sur le changement climatique", a-t-il dit.

Selon des estimations de l'Institut d'études géologiques américain (USGS) et de l'Union internationale pour la conservation de la nature, les deux tiers des 20 à 25.000 ours polaires vivant aujourd'hui risquent de disparaître du fait du réchauffement planétaire d'ici 50 ans.


Les pays abritant des ours polaires se réuniront de mardi à jeudi à Tromsoe (nord de la Norvège) pour réfléchir à la protection de l'animal face aux menaces apparues depuis 1973, date de signature d'un accord de conservation entre les cinq Etats, à une époque où la seule menace connue était la chasse.

"Personne ne pensait au changement climatique à cette époque", a souligné Thor Larsen, un chercheur qui avait participé à la négociation de l'accord.

M. Hansson a relevé que la réunion de suivi de Tromsoe aurait lieu à "un moment extrêmement important", en amont de la conférence de Copenhague prévue entre le 7 et le 18 décembre pour trouver un accord post-Kyoto sur le changement climatique.


"Aux Etats-Unis, Barack Obama a envoyé des signaux complètement différents de ceux de l'administration précédente sur le climat", a souligné M. Hansson, qui dit espérer que cette inflexion serait visible à Tromsoe.

Selon certaines estimations, la banquise, le terrain de chasse de l'ours, pourrait complètement disparaître dans l'Arctique en été dès 2020.

"Pas de banquise, ça veut dire pas d'ours polaires. C'est aussi simple que cela", a déclaré l'Américain Geoff York, un ancien de l'USGS, aujourd'hui spécialiste des ours pour WWF.


Selon lui, il n'est pas trop tard pour agir.

"Nous savons que les ours polaires ont survécu à des périodes de réchauffement dans le passé. Nous ne savons pas comment mais si on leur donne assez d'espace, ils s'adapteront autant que cela est possible", a-t-il dit.

"Mais le problème des activités pétrolières, minières et militaires, et celui du transport maritime ne se posaient pas pendant ces périodes de réchauffement", a-t-il ajouté, plaidant pour la retenue dans tous ces domaines.

(source)

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Changement climatique en Arctique

30 Novembre 2008 , Rédigé par Istvan Publié dans #Nature Wildlife

L’Union européenne n’échappe pas à l’intérêt croissant porté à l’Arctique. Quelques jours après la tenue d’une conférence internationale sur l’Arctique, co-organisée par la présidence française de l'Union européenne et la Principauté de Monaco, la Commission européenne publie une communication sur le sujet.
Optimiser et harmoniser les recherches sur l’Arctique, c’est l’engagement auquel sont parvenus, le 10 novembre dernier, les ministres ainsi que les représentants des institutions européennes et des organisations internationales présents à la conférence internationale sur l’Arctique organisée à Monaco.
Si cette déclaration va dans le bon sens, elle est loin d’être suffisante. Les dernières données scientifiques montrent l’urgence d’agir pour protéger l’Arctique : l’Arctique se réchauffe plus vite que ce que nous le pensions il y a encore à peine un an.

De plus, si le réchauffement climatique porte déjà gravement atteinte à l’écosystème arctique, il représente, bien au delà des limites de cette région, une source d’emballement du climat qui menace la planète toute entière. Ainsi, le dégel des sols de l’Arctique, particulièrement riches en CO2, entraîne la libération d’énormes quantités de gaz à effet de serre dans l’atmosphère. La stabilité des courants océaniques dans leur ensemble est également menacée.
Si l’on veut inverser la tendance, il faut dès aujourd’hui dépasser les constats et passer à l’action : « la science seule ne pourra pas protéger l’Arctique. Seules des décisions politiques pourront y parvenir », a souligné Neil Hamilton, directeur du WWF Arctique.

Il a également rappelé, à quelques semaines de la conférence de Poznan sur le climat, qu’il était impératif que l’Union européenne ouvre la voie à un accord international suffisamment ambitieux pour renverser la tendance. C’est là tout l’enjeu du Paquet Energie Climat, qui est entré dans sa dernière phase de négociations au sein de l’UE. Pour convaincre d’autres acteurs de s’engager sur la scène internationale, l’Union européenne et sa présidence française doivent viser une réduction de 30% des émissions de CO2 de l’UE d’ici à 2020 et soutenir les pays en voie de développement dans leurs efforts.
Loin d’être un luxe, il s’agit d’ une exigence indispensable si l’on veut éviter l’emballement du climat mondial et rester en deçà d’un réchauffement de 2°C en 2100.

Le 20 novembre dernier, la Commission européenne a publié une communication soulignant la nécessité de préserver l’Arctique et d’en exploiter les ressources de manière durable. Il s’agit là d’un pas important pour éviter que la région arctique ne soit détruite par la ruée vers les ressources naturelles qu’elle recèle.
Mais les critères de durabilité ne suffisent pas. C’est pourquoi, le WWF appelle à un moratoire sur le développement de l’exploitation pétrolière tant que la capacité technique à faire face, dans cet écosystème fragile, à des pollutions accidentelles n’a pas été démontrée.

Autre point d’importance : la gouvernance de l’Arctique. Tout comme l’avait fait le Parlement européen dans une résolution adoptée en octobre dernier, la Commission européenne appelle à une amélioration de la gouvernance de l’Arctique. « La fonte des glaces ouvrant la possibilité à l’exploitation des ressources naturelles, les différentes législations régissant l’Arctique ne sont pas suffisantes pour assurer une protection et un avenir durable de la région. Il faut une approche globale, une gouvernance partagée, en plus de la convention sur le droit de la mer », affirme Neil Hamilton.

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Pétition : protégeons la banquise

18 Septembre 2008 , Rédigé par Istvan Publié dans #Nature Wildlife


La Présidence Française du Conseil de l'Union Européenne et la Principauté de Monaco, co-organisent une conférence internationale sur les enjeux de l'Arctique en présence des représentants des gouvernements des 27 pays de l'Union Européenne.

L'objectif de cette conférence est la création d'un observatoire pour le suivi à long terme des conséquences du changement climatique et des pollutions en Arctique à l'issue de l'Année Polaire Internationale.

Cette mise en réseau des recherches est une bonne initiative, mais la fonte de la banquise nous met dans l'urgence de nous attaquer à la racine du mal, de prendre toutes les mesures pour limiter les émissions de gaz à effet de serre.


La fonte de la banquise a déjà de graves conséquences locales sur la vie des peuples autochtones et l'écosystème polaire, notamment sur l'ours blanc, son plus emblématique représentant. Mais au-delà des conséquences locales, la disparition de la banquise au pôle Nord va nous conduire inévitablement vers une période de chaos climatique, notamment dans l'hémisphère Nord.

La sauvegarde de la banquise est un enjeu majeur pour lequel chaque citoyen à sa part de responsabilité. Faisons de la banquise l'indice de la capacité de l'humanité à juguler les émissions de gaz à effet de serre à l'échelle mondiale.

La France avait joué un rôle majeur pour le moratoire qui protège aujourd'hui l'Antarctique. Je souhaiterais que le gouvernement français, dans le cadre de la Présidence du Conseil de l'Union Européenne, adresse un signal fort à la communauté internationale,  afin de proposer à l'Assemblée générale des Nations unies, le vote d'une résolution qui classerait la banquise de l'océan Arctique, "Zone d'intérêt commun pour l'humanité".

C'est un projet politique pertinent et non conflictuel, qui engage la communauté internationale sans porter atteinte à la souveraineté des Etats de la circonférence polaire arctique.

Si vous souhaitez marquer votre soutien pour cette initiative, vous pouvez signer la pétition en ligne


http://www.jeanlouisetienne.fr/

Merci Krystof "on Board Guys"
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David Gandy for Save the Sea!

6 Août 2008 , Rédigé par Istvan Publié dans #Nature Wildlife



Male model David Gandy and designer Katherine Hamnett have teamed up to support the campaign, "Save the Sea". This is just a little video from the photo shoot

SAVE THE SEA
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Les lagons Calédoniens au patrimoine mondial de l’humanité par l’UNESCO

13 Juillet 2008 , Rédigé par Istvan Publié dans #Nature Wildlife

Le WWF-France se réjouit de l’inscription des lagons Calédoniens au patrimoine mondial de l’humanité par l’UNESCO.

Le Comité du patrimoine mondial de l’UNESCO constitué de 21 signataires de la Convention du patrimoine mondial, a rendu un avis favorable à la demande de la France d’inscrire les lagons Calédoniens et ses écosystèmes en tant que « bien naturel » au patrimoine mondial de l’humanité. Le bien qui sera inscrit en tant que «lagons de Nouvelle Calédonie : diversité récifale et écosystèmes associés » contient plus de 15 000 km2 de lagons et récifs, soit 60% des lagons de la Grande Terre et des îles Loyauté. Ce lagon est reconnu comme le plus grand du monde entouré par le deuxième plus long « récif barrière » de la planète. Il abrite entre quinze et vingt mille espèces marines telles que les baleines à bosse, les dugongs et les tortues marines.


Pour veiller à ce que ces écosystèmes restent dans un excellent état de conservation, le WWF-France pilote, depuis 2005, une initiative ambitieuse réunissant de nombreux partenaires (collectivités, organes de recherche, associations et populations locale) afin de promouvoir des politiques de développement permettant d’assurer la protection pérenne de ce « haut lieu » de la biodiversité mondiale.« Cette inscription est une superbe réussite et devrait renforcer les efforts déjà considérables pour assurer la conservation de ce bijou marin à la fois extraordinaire et fragile » déclare Ahab Downer, Responsable du Bureau WWF-France en Nouvelle Calédonie.

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La nourriture se fait rare pour les baleines.

5 Juillet 2008 , Rédigé par Istvan Publié dans #Nature Wildlife


Les zones entourant le Pôle Sud où les baleines viennent s’alimenter s’amenuiseront, seront de moins en moins riches en nourriture et se trouveront de plus en plus éloignées. Tel est le scénario qui attend les baleines dans les océans entourant l’Antarctique
si le réchauffement global de la planète atteint les 2°C. Un scénario contenu dans le rapport Ice breaker: Pushing the boundaries for whales publié par le WWF à la veille d’une réunion cruciale de la Commission baleinière internationale qui s’ouvre ce lundi à Santiago du Chili.


Ce sont entre autres
le rorqual bleu, le plus grand être vivant de notre planète, et la baleine à bosse qui se trouveront confrontés au manque de ressources alimentaires. Cette dernière espèce, soit dit en passant, commence seulement à reconstituer une partie de ses effectifs après avoir été décimée par la chasse commerciale menée principalement durant la première moitié du 20è siècle. Les deux espèces sont migratrices.


Pour s’accoupler, donner naissance à leur petit et l’allaiter, les baleines à bosse fréquentent des zones océaniques situées plus au nord. Mais
pendant trois à quatre mois par an, elles se nourrissent principalement de krill dans les océans qui entourent l’Antarctique, où elles se constituent des réserves de graisse pour le reste de l’année. Les baleines se nourrissent à hauteur de ce que l’on appelle les « zones frontales », là où des eaux riches en nutriments provenant des profondeurs permettent le développement d’énormes quantités de krill.


Suite au réchauffement de la Terre, ces zones se déplacent vers des régions plus froides autour du Pôle Sud et, avec elles, le précieux krill. Ce phénomène risque de forcer les baleines migratrices à parcourir 200 à 500 kilomètres en plus vers le sud pour pouvoir s’alimenter. Cette distance supplémentaire parcourue durant leur migration annuelle force les animaux à dépenser un surplus d’énergie et raccourcit la période durant laquelle elles peuvent constituer leurs réserves de graisse.
Etant donné que les zones riches en krill se déplaceront plus loin vers le sud, elles se rapprocheront les unes des autres, ce qui réduira encore davantage les possibilités d’alimentation des baleines.


De plus,
les quantités de krill diminueront, réduisant de la sorte les quantités de nourriture disponibles pour les cétacés. Cette diminution s’explique par le fait que le cycle de vie du krill dépend de la banquise qui se forme sur la mer. Si le réchauffement de la planète atteint les 2° C, cette glace se réduira d’environ 30 % autour de l’Antarctique.


Si nous ne parvenons pas à freiner rapidement le réchauffement climatique, une telle situation sera atteinte d’ici moins de 40 ans. Une espèce comme le petit rorqual, qui dépend étroitement de la banquise, se trouvera en moins d’une génération confrontée à des bouleversements dramatiques dans son environnement” annonce le Dr. Susan Lieberman, Directeur du Programme Espèces du WWF-International et qui dirige la délégation du WWF à la réunion de la CBI. “Les conséquences du réchauffement climatique sur les baleines sont une bonne raison supplémentaire pour adopter des mesures drastiques visant à mettre fin au changement climatique.”

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Save the Sea

4 Juillet 2008 , Rédigé par Istvan Publié dans #Nature Wildlife


David Gandy apporte son soutien à la campagne  "
Save the Sea"  en portant un t-shirt dessiné par le couturier britannique  Katharine Hammet  pour l'organisation "Enviromental Justice Foundation".

Le but de cette organisation est de sauver la mer des pirates de la pêche qui pratiquent la pêche à outrance en privant les populations locales de moyen de subsistances essentielles à leur survie. Cette manière de pêcher est aussi hélas un moyen d'accélérer la disparition de certaines espèces de poissons.

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Les espèces en voie de disparition : Le bonobo

15 Juin 2008 , Rédigé par Istvan Publié dans #Nature Wildlife


Nom scientifique :  Pan paniscus
Taille : de 70 à 100 cm
Poids : mâle 45 kg, femelle 30 kg
Alimentation : plantes, graines, écorces, fruits, jeunes pousses et invertébrés
Espérance de vie : environ 40 ans
Répartition géographique : le long du fleuve Congo en République Démocratique du Congo.

  
Aussi appelé le chimpanzé pigmée, le bonobo se distingue de son cousin le chimpanzé commun par : un crâne plus petit et plus arrondi, un corps plus fin et des membres plus longs. Il a aussi une touffe de poils aplatie au sommet du crâne. Les bébés bonobos sont aussi différents des autres bébés chimpanzés : ils naissent avec la face noire tandis que celle des autres chimpanzés est claire.
Les bonobos restent la plupart du temps dans les arbres, au sommet ou dans le sous-bois. C'est dans les arbres que, chaque soir, ils fabriquent un nid pour y passer la nuit.
Très sociaux et intelligents, les bonobos vivent en groupe de 50 à 100 individus. Ils utilisent toute une série de « grimaces » et de gestes pour communiquer entre eux. Si un bonobo montre les dents, c'est qu'il se sent menacé par un de ses compagnons.
Menaces

Il ne resterait qu'entre 10.000 et 20.000 individus. Les bonobos sont très menacés : leur nombre aurait diminué de moitié durant les 20 dernières années. Les braconniers les chassent illégalement pour les vendre comme viande de brousse, comme animaux de compagnie, ou pour leurs soi-disant vertus médicinales (on les utilise notamment dans la médecine traditionnelle). Ils sont aussi victimes des guerres. Mais la plus grande menace reste la destruction de la forêt tropicale pour l'exploitation agricole (cultures, élevage...) Si la déforestation continue à la même vitesse, on pense que le bonobo aura totalement disparu d'ici 50 à 70 ans.

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