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les chroniques d'Istvan

Le Patient anglais

31 Mars 2008 , Rédigé par Istvan Publié dans #Cinema


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Le Patient anglais (The English Patient) est un film américain de Anthony Minghella inspiré du roman l'Homme flambé de Michael Ondaatje, sorti en 1996.

Synopsis

En pleine Seconde Guerre mondiale , un homme, voyageant avec une femme, est sauvé des flammes de son avion accidenté par des nomades du Sahara. Remis aux Alliés et gravement brûlé, il est incapable de se souvenir de son identité et est inscrit sous le nom de « patient anglais ». À chaque déplacement du régiment médical canadien qui le soigne, ce patient suit. Arrivé en Toscane en 1944, une des infirmières, Hana, ne supporte plus de voir des amis mourir et obtient de son supérieur le droit de s'installer dans un monastère abandonné pour s'occuper des derniers jours du patient anglais.

Hana et son patient sont rejoints par Caravaggio qui affirme s'occuper des relations entre les Alliés et les résistants italiens et par deux démineurs menés par le lieutenant sikh Kip Singh. Chacun des protagonistes cherche à exorciser les fantômes créés par la guerre. Pendant les lectures d'Hérodote et les discussions avec Caravaggio, l'inconnu se remémore sa vie d'avant la guerre (sous forme de flashbacks).

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Il est le comte László Almásy, un aviateur au service d'expéditions archéologiques dans le désert de Libye, auxquelles il participe aux côtés de Britanniques, dans les années 1930. Jusqu'au jour où l'équipe est rejointe par le couple Clifton.

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Distribution

Personnages apparaissant principalement avant-guerre :


Personnages intervenant principalement dans la chronologie de 1943 à 1945 :

Récompenses
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J.O DE PEKIN 2008

31 Mars 2008 , Rédigé par Istvan Publié dans #Actualité

Le Français Romain Mesnil, vice-champion d'Europe et du monde à la perche, s'est dit favorable vendredi 21 mars 2008 au port d'un ruban vert durant les jeux Olympiques à Pékin, afin de montrer l'attachement des athlètes "au respect des droits de l'Homme"."Suite à la médiatisation tardive du non respect des droits de l'Homme en Chine, je pense qu'une initiative de la part des sportifs aux jeux Olympiques serait la bienvenue", déclare dans un communiqué Mesnil, en faisant référence aux récentes violences au Tibet.


" Il serait par exemple intéressant que les sportifs qui le souhaitent, puissent porter pendant toute la durée des Jeux un ruban vert (couleur de l'espoir) qui montrerait leur attachement au respect des droits de l'Homme et ce, sans connotation politique", ajoute-t-il. "Ce symbole rappellerait que le respect des droits de l'Homme s'insère complètement dans l'esprit olympique. Le but est bien entendu que ce signe respecte la charte olympique."  L'article 51-3 de ce texte dispose qu'"aucune sorte de démonstration ou de propagande politique, religieuse ou raciale n'est autorisée dans un lieu, site ou autre emplacement olympique."

OPPOSÉ AU BOYCOTT

Un porte-parole du Comité international olympique (CIO), joint au téléphone par l'AFP, a déclaré qu'une telle démonstration serait en infraction avec cet article de la charte olympique. Cet accueil réticent réservé par le CIO au projet du perchiste français ne l'a pas refroidi. "Il faut savoir comment on peut contourner le problème", a déclaré samedi Romain Mesnil à l'AFP, qui n'a pas l'intention dans l'immédiat de renoncer à son idée. "Bien sûr que non, a-t-il assuré. Je suis à l'initiative du projet. Il faut voir comment on peut le faire avancer. Ce n'est pas en une réponse rapide que l'on peut régler la question. Je ne comprends pas dans quelle catégorie ils classent cela et pourquoi. Est-ce réellement politique de dire que l'on est attaché aux droits de l'Homme? S'il le faut, on peut juste changer le message."

"Moi, je suis opposé au boycott des Jeux, car cela n'apporte rien", a souligné Mesnil. "En 2001, comme tout le monde, j'ai pensé aux droits de l'Homme dès que la Chine a obtenu l'organisation des Jeux de 2008. Là, avec la médiatisation des récents événements, y aller sans rien faire, ça me gênait au fond de moi." "La Fédération (française d'athlétisme) m'a dit qu'elle était d'accord avec mon idée, mais elle m'a dit que ça n'allait peut-être pas passer au CNOSF (Comité national olympique et sportif français)", a-t-il encore indiqué. "Pour l'instant, nous n'avons pas eu de directive du CNOSF. Le but n'est pas de parler de politique, mais des droits de l'Homme, qui sont une notion très universelle s'incrivant dans l'idéal olympique." (source)

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AQUADAKS

31 Mars 2008 , Rédigé par Istvan Publié dans #Mode - fashion



Aquadaks est une marque de sous-vêtements et de maillot de bain.  Daks est de l'argot australien. Littéralement, Aquadaks signifie «pantalon de l'eau». Cette société a été fondée par Jason Hunwick.


Grâce à son âme indépendante, Jason a pris des années pour mettre en place l'aventure qui le conduirait d'un monde des bureaux à celui de la mode.



Pour certains, l'eau est un de style de vie et Aquadaks a l'intention de participer à cette vision en habillant les drogués de l'eau. 



Aquadak croit que sa mode se prêtera aux traditions sportives.



Comme la compagnie gagne en notoriété, il est  prévue de nouvelles gammes et des produits pour satisfaire les futurs acheteurs.



Que se soit pour nager ou bronzer, Jason souhaite que le maillot de bain crée la liberté de mouvement aussi bien qu'améliorer des opportunités de bronzage !


Jason a l'intention de porter ces idées aussi bien que d'autres en développant des designs futuristes, en offrant à la clientèle d'hommes  une excellente qualité,  chic, sportive, et robuste pour le nageur.

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Montpellier

30 Mars 2008 , Rédigé par Istvan Publié dans #Voyages



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CHANEL ALLURE HOMME

30 Mars 2008 , Rédigé par Istvan Publié dans #Campagne - Publicité


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Mort à Venise

26 Mars 2008 , Rédigé par Istvan Publié dans #Cinema


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Mort à Venise
(Death in Venice selon sa langue de tournage, Morte a Venezia selon sa langue de production) est un film franco italien réalisé par Luchino Visconti, sorti sur les écrans en 1971.

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Synopsis

L'action se déroule à la Belle Epoque dans une Venise visitée par la bourgeoisie européenne insouciante de l'époque, d'avant les drames qui vont surgir. Un compositeur Gustav von Aschenbachen villégiature (très librement inspiré de Gustav Mahler est troublé par un jeune garçon au point de remettre en question ses certitudes d'une vie toute entière.

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Commentaires

Le film est inspiré principalement par la nouvelle de Thomas mann, La mort à Venise éditée en 1913, mais aussi par le roman le Docteur Faustus, toujours de Mann, et l'un des personnages (le directeur de l'hôtel) doit beaucoup à un personnage imaginé par Marcel Prouts.

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Le film est une méditation sur l'imputeté, le mal¨-être, l'homme qui en un instant se rend compte qu'il n'a pas pris conscience du temps qui passe.


Distribution

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Autour du film
  • L'utilisation de l'adagietto de la 5eme symphonie de Gustav Malher va engendrer un engouement pour sa musique et sortir définitivement son œuvre toute entière du purgatoire relatif dans lequel elle était confinée depuis sa disparition.
  • Bjørn Andresen, l'acteur jouant le jeune Tadzio, a fait plus tard une carrière dans la musique (y compris compositeur) et quelques longs métrages suédois.

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La tragédie des Romanov

26 Mars 2008 , Rédigé par Istvan Publié dans #Histoire

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Dans la nuit du 17 juillet 1918, le Tsar Nicolas II, son épouse la Tsarine Alexandra Feodorovna, leurs enfants Olga, Tatiana, Maria, Anastasia et Alexis ainsi que leurs proches domestiques sont massacrés par les rouges.

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En 1920, une certaine Anna Andreson dira être Anastasia : sauvée par l'un des assassins, elle l'aurait épousé et en aurait eu un enfant. Son mari et son enfant morts rapidement, elle tente alors de se suicider en sautant d'un pont mais est sauvée de la noyade et conduite dans un hôpital.

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C'est là que cette Anna Anderson affirme être le fille du Tsar. Mensonge ou réalité ? Que s'est-il vraiment passé cette nuit là ?


Aujourd'hui, on est sûr qu' Anna Andreson n'était pas Anastasia même si elle se "souvenait" de détails que seule la fille de Nicolas II aurait pu avoir en mémoire. Ceux qui l'ont cru affirmaient que les membres de la famille royale ne voulaient pas la reconnaître pour sauvegarder les intérêts dynastiques. En outre, Anna manifestait une volonté d'être reconnue comme étant Anastasia mais ne réclamait pas d'argent et désirait une vie simple. Cela suffit à faire dire à ses partisans qu'une imposteur n'aurait pas eu ce comportement. Le problème majeur d’Anna (que ses adversaires vont utiliser contre elle) c'est la langue : Anastasia parlait le russe, l'anglais, le français et très mal l'allemand. Or, Anna parle parfaitement l'allemand, ne comprend ni l'anglais ni le français et fait troublant, comprend le russe mais ne le parle pas.

Un détective apprendra en 1928 qu' Anne Anderson pourrait bien être Franziska Schanzkowski, une ouvrière polonaise qui a déjà fait deux séjours à l'asile et qui a disparu le 15 février 1920 soit deux jours avant la tentative de suicide de Anna. Il retrouve la famille de cette femme qui lui montre des photos de la jeune Franziska : c'est la même personne qu' Anna. Elles ont en commun une cicatrice à la main gauche. Pourtant, Anna Anderson affirmera toujours être Anastasia.
Une autre version concernant la famille impériale circulait : seuls Nicolas II et son fils auraient été fusillés. Alix et ses filles auraient été emmenées à Perm. Selon l'officier Malinovski chargé de l'enquête après l'exécution, on aurait fusillé plusieurs personnes pour simuler la mort de la tsarine et de ses filles. Elles auraient été vues à Perm en aout et septembre 1918. Alix et ses trois filles aînées auraient pris un train…sans Anastasia qui se serait enfuit le 17 septembre et aurait disparu pour de bon. Anastasia, sa mère et ses sœurs ont-elles vraiment survécu au massacre ? Difficile à affirmer.

Selon l'historien français Marc Ferro, Anastasia ainsi que ses sœurs et sa mère auraient échappé au massacre de 1918 bien qu'officiellement, elles soient dites mortes.
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En effet, leur survie serait d'ordre politique : à cette époque, le régime bolchevik est fragile et dépend de l'arrêt de la guerre avec l'Allemagne. Or, la tsarine a des liens de parenté avec l'empereur Guillaume II d'Allemagne. Son assassinat ainsi que celui de ses filles pourrait avoir de lourdes conséquences. Les bolcheviks les auraient caché après l’exécution du Tsar et d'Alexis puis les auraient fait passer en Allemagne. On perd alors leurs traces.

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Voici maintenant ce qu'aurait pu devenir alors Anastasia et le parallèle avec Anna Anderson : Anastasia se serait enfuie avant ce transfert avec l'un de ses gardiens et serait tombée enceinte de lui puis aurait rejoint sa famille en Allemagne (cette version concorde avec celle d’Anna). Mais là bas le grand duc Cyrille lui est hostile et refuse de la reconnaître. C'est alors qu'Anastasia aurait relaté des événements datant de 1916, des négociations entre Nicolas II et un envoyé en Guillaume II pour une possible paix. Seule la fille du tsar pouvait être au courant et témoin de cela (Anna était également au courant de cela). Entre en scène cette Franziska : la famille d'Anastasia lui tourne le dos et met en avant une fausse Anastasia (Franziska) pour discréditer la fille du tsar et la faire sombrer dans la folie.

Les analyses ADN ont démontré qu'Anna Anderson ne pouvait être la grande-duchesse Anastasia : ces mêmes analyses démentent également l'hypothèse longtemps admise selon laquelle Mme Anderson était une ouvrière polonaise nommée Franziska Schanzkowska.

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Voici pourquoi les rouges et les blancs avaient intérêt à faire passer Anastasia pour morte : les rouges auraient pu passer pour des alliées de l'Allemagne en laissant la vie à une (ou plusieurs) femme(s) de la famille impériale. Comme toute la famille est supposée être morte, cela évite toute restauration au pouvoir des Romanov en Russie.

Les blancs qui auraient servis d'intermédiaire entre les rouges et la famille royale d'Allemagne auraient pu passer pour des traites à la Russie de négocier secrètement avec l'ennemi et d'adopter officiellement leur version du massacre. De plus, les blancs étaient pour légitimer la branche du grand duc d'Allemagne et la survie de membres de la famille impériale l’empêchait

Si Alix a pu survivre au massacre à l'inverse de sa sœur aîné - la grande duchesse Elisabeth fut assassinée elle aussi en février 1918- , c'est probablement parce qu'Alix étant Tsarine avait un rang plus important (cela est toujours un avantage dans de pareilles situations). Si les rouges ont laissé la vie à Alix et ses filles, ils ne pouvaient pas se permettre de faire de même pour tout le monde : cela aurait fait trop de gens à cacher s’ils étaient officiellement morts.

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Si la famille impériale fut en totalité massacrée le 17 juillet 1918, en effet, Anastasia fut probablement la dernière à mourir. Selon les récits, Nicolas fut abattu la premier lorsqu'il voulu se mettre devant son épouse et son fils pour les protéger. Alix et Olga seraient mortes aux premiers coups de feu. En revanche, les trois filles cadettes et Alexis reçurent plusieurs coups de feu. En effet, alors que tous semblaient morts, Anastasia, protégée par le corps de Olga reprit conscience et fut achevée aux coups de baïonnettes.

Les corps auraient ont été jetés dans un puits de mines avant d'être finalement enfouis dans une forêt. En 1979, on retrouve les corps de la famille impériale mais, il en manque deux. Avec l'ADN, on conclura en 1991 qu'il s'agit de ceux d'Alexis et d'Anastasia ou de Maria. Ces deux corps manquant ont probablement été brulés.

Les restes présumés du tsar, découverts en 1991, ont été inhumés en grande pompe dans l'ancienne capitale impériale Saint-Pétersbourg, en présence du président Boris Eltsine, au milieu d'une vive polémique sur leur authenticité, l'Eglise orthodoxe russe ayant alors mis en doute les résultats des tests ADN.
D'après des fouilles récentes, on aurait retrouvé les corps (introuvables jusqu'à maintenant) des deux enfants du dernier tsar. Des analyses ADN sont en cours.

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ANDORRE 2008 : Gisela - "Casanova"

26 Mars 2008 , Rédigé par Istvan Publié dans #Musique





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GO SOFTWEAR

25 Mars 2008 , Rédigé par Istvan Publié dans #Mode - fashion



Greg Olvera a créé Go Softwear et introduit une ère nouvelle des dessous d'hommes en 1996. Avant la mode "metrosexual" les vêtements Go Softwear trouve un écho parmi les jeunes,  en leur donnant une image et un corps les mâles conscients.

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Depuis, Go Softwear a présenté une gamme de sous-vêtements, vêtements de séance de mise en forme et loungewear.
 
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Le consommateur se tourne vers les sous-vêtements de couleurs de vive, de nouvelles matières de nouveau désign,  une dose d'espièglerie et  deviennent ainsi le choix préféré des hommes.

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Pour la collection printemps/été, Go Softwear a lancé une nouvelle ligne de maillot de bain actualisée en incluant le bikini traditionnel et de sous-vêtements  dans un assortiment d'amusement et de couleurs pleines de vie.

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La compagnie lance aussi une nouvelle campagne d'annonce tant pour leurs sous-vêtements que pour lignes de maillot de bain qui seront placées dans les publications de mode et en ligne. Un nouveau site Internet actualisé a été créé et peut être vu à gosoftwear.com.
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Laurent KORCIA

25 Mars 2008 , Rédigé par Istvan Publié dans #Musique

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Laurent Korcia, né le 7 novembre 1964 à Paris est un violoniste  virtuose français.

Son jeu est d’une liberté, d’une présence, d’une imagination que l’on ne connaît qu’à de rares violonistes d’aujourd’hui … et du passé. Korcia a tout : le grand style, la technique, la présence, les idées, le charme.
(Le Monde)

Ses disques consacrés à Ysaÿe et à Bartok nous l’ont bien fait comprendre : Laurent Korcia est un violoniste hors du commun. L’un de ceux dont le feu sacré et l’instinct vous saisissent dès les premières mesures. Tels ces virtuoses du début du siècle, les Elman, Heifetz, Ysaÿe ou Kubelik dont le style, la sonorité, et le vibrato étaient une véritable signature, Korcia est de ceux que l’on identifie à coup sûr. En cela, il se démarque de tous ses contemporains.
(Diapason)
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Parrainé dès son plus jeune âge par Pierre Barbizet et formé au conservatoire national supérieur de musique de Paris par Michèle Auclair, elle-même disciple de Jacques Thibaud et George Enesco, Laurent Korcia est l’un des violonistes les plus reconnus de sa génération. Premier prix au CNSM de Paris, Laurent Korcia remporte, à l’âge du 18 ans, le Concours Paganini à Gênes, ce qui lui vaut de jouer sur le Guarnerius du maître, ainsi qu’un Grand Prix au Concours Jacques Thibaud, le premier Grand Prix au Concours International Zino Francescatti et le Concours «Young Concert Artist » de Londres.
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Nommé Chevalier des Arts et Lettres et Soliste instrumental de l’année aux Victoires de la Musique en 2002, on lui décerne le prix Georges Enesco de la SACEM ainsi que le Grand Prix de l'Académie du disque Charles Cros.

Laurent Korcia est invité à jouer en soliste avec les grands orchestres européens.
 
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Il est l’un des rares violonistes à donner des récitals de violon seul aux programmes allant de Bach aux compositeurs d’aujourd’hui.

Après avoir enregistré pour BMG/RCA, Laurent Korcia enregistre maintenant pour le label NAÏVE. Déjà parus chez Naïve :
- Doubles Jeux (parution novembre 2006) – avec Michel Portal, Florin Niculescu, Nemanja Radulovic, Tatjana Vassiljeva, Michael Wendeberg, Jean-Louis Aubert…
- Danses – avec Jean Efflam Bavouzet et Michel Portal...
- BartoKorcia - double CD Bartok avec le concerto n°2, la sonate pour violon seul, la première sonate pour violon et piano et Contrastes, avec le CBSO, Sakari Oramo, Jean Efflam Bavouzet et Michel Portal
- le Stabat Mater de Bruno Coulais.

LAURENT KORCIA joue actuellement sur le Zahn, Stradivarius de 1719 qui lui est prêté par le groupe LVMH.


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